S'organiser
Datte: 09/08/2017,
Catégories:
fh,
hplusag,
Collègues / Travail
enceinte,
humilié(e),
Oral
69,
fist,
pénétratio,
fdanus,
fouetfesse,
fantastiqu,
... l’entretien. Il se retourne : — Qu’y a-t-il à ajouter ? Elle se lance dans un discours sur le respect des formes qu’il écoute à bout de patience. Elle finit par se taire, il la resalue et quitte la pièce, rageur. Arrivé dans son bureau, il met un moment à retrouver son calme. C’est seulement là qu’il se rend compte des picotements qui l’agitent. Il ne comprend pas, puis réalise qu’il a été touché par la directrice, quand elle lui a saisi le bras et a heurté la secrétaire. Il était alors si contrarié qu’il ne pensait pas à contrôler son « don » et donc que celui-ci avait fonctionné à plein. Les deux jeunes femmes n’allaient pas tarder, si ce n’était déjà fait à en ressentir les effets. Et merde ! pense-t-il, c’est justement pour éviter la tentation que je voulais partir. C’est d’ailleurs ce que je vais faire. Mes rendez-vous de demain devraient dissiper les effets. Il va pour prendre son blouson, quand ce que lui ont dit Rosmerta et Cernunnos lui revient : « Toute femme que tu touches doit devenir enceinte, sinon sa vie deviendra un enfer ». Bon pour la dirlo ça devrait s’arranger, puisqu’elle est déjà enceinte, mais pour la secrétaire… Si elle prend une contraception, ça va être la merde. Bon je ne peux pas la lâcher dans la nature ainsi. Il téléphone à Marion pour lui expliquer la situation. Elle lui suggère : — Dans le doute, tu devrais t’occuper de Ladigo. De toute manière une deuxième session ne lui fera pas de mal. Ça lui mettra peut-être un peu de plomb dans la ...
... cervelle et lui rabattre de sa prétention. Somme toute, il ne trouve pas le conseil stupide, mais hésite. Il rédige une vague note et se prépare à partir vers les quartiers directoriaux pour la soumettre, quand on frappe à la porte. Il a à peine le temps de dire « Entrez » qu’entrent Anne et Valériane. Il avait oublié que les Dieux lui avaient dit que les femmes élues seraient attirées vers lui si elles se trouvaient dans un rayon proche. Il les sent nerveuses, lui aussi l’est, d’ailleurs. La directrice recommence à lui parler de son courriel, en faisant une analyse, mais elle n’est pas très claire et s’embrouille. Elle finit par s’arrêter. Il lui soumet alors sa note. Elle la prend et entreprend de la lire. Elle a visiblement du mal à se concentrer. Durant ce temps, la secrétaire danse d’un pied sur l’autre. Comme la situation s’éternise, il décide de brusquer les choses : — Vous devriez étudier cela à tête reposée dans votre bureau. Il n’y a pas urgence. Anne, à regret, se dirige vers la porte et sort. Il pense qu’avoir un polichinelle dans le tiroir en route lui permet de ne pas succomber, cela le soulage plutôt. La secrétaire quant à elle reste comme statufiée. Elle va pour parler, hésite, lui pose la main sur l’épaule et l’embrasse. Il se recule : — Vous êtes folle, n’importe qui peut entrer, et ici il n’y pas de porte capitonnée ni de secrétariat pour tenir à distance les visiteurs. Elle ignore complètement l’interruption et se cramponne. Sans que l’on ait frappé, la porte ...