1. S'organiser


    Datte: 09/08/2017, Catégories: fh, hplusag, Collègues / Travail enceinte, humilié(e), Oral 69, fist, pénétratio, fdanus, fouetfesse, fantastiqu,

    ... s’ouvre. Anne entre le regard trouble, elle tremble : — Monsieur Lemua, veuillez me suivre. J’ai à vous parler. Il la suit et Valériane emboîte le pas. Arrivée dans le bureau, la directrice ferme la porte derrière Bernard et elle. De nouveau, elle tient un discours peu clair en arpentant la pièce, finit s’approcher de lui, hésite un moment et l’embrasse à pleine bouche. Quand il peut parler, il joue les offusqués : — Madame la directrice ! Elle lui met la main entre les cuisses : — Tu en as aussi envie que moi. Elle l’embrasse de nouveau fougueusement. La porte s’ouvre alors sur Valériane fébrile. En voyant la scène, elle devient encore plus agitée. — Alors tu as encore le feu au cul. Hier ne t’a pas suffi.— Ça va ! Occupe-toi de tes affaires.— Ce sont mes affaires, car c’est moi qui ai arrangé le coup avec ton mari et qui joue les cerbères à la porte, pendant que tu t’envoies en l’air.— Tu es jalouse. Je t’ai vue dans son bureau. Tu voudrais bien que ce soit toi. Tu ne penses pas à ton mari maintenant et tu as oublié ce que tu m’as pleurniché la dernière fois. Il s’ensuit un vif échange entre les deux dames. Elles en viennent presque aux mains dans leur désir de s’accaparer le mâle dont elles ressentent l’appel. Bernard intervient : — Mesdames, un peu de tenue. Ne vous querellez pas ainsi… ici. On va finir par vous entendre. Elles se calment un peu. La discussion reprend, mais rapidement elle prend de nouveau une tournure âpre. Il s’interpose de nouveau : — Ça suffit ! Vous ...
    ... n’allez pas vous crêper le chignon. Je vous sens d’humeur gauloise. Moi aussi, comme Anne l’a constaté. On devrait pouvoir s’arranger tous les trois sans cris ni grincements de dents. Allez, prenez vos affaires et allons à l’hôtel à côté. Téléphonez chez vous pour que l’on ne s’inquiète pas. Nullement outrées par cette proposition de plan à trois, ces dames ne se perdent pas en discussions. D’un même mouvement, elles y vont. Oubliant leurs bisbilles, elles se mettent d’accord, chacune téléphonant au mari de l’autre pour avertir qu’elles sont retenues. Malgré leur impatience, ils passent prendre un en-cas et faire quelques emplettes. À l’hôtel, c’est la même réceptionniste que la veille qui les accueille, tout sourire elle leur souhaite une bonne nuit plein de sous-entendus. Tous passent par la case salle de bain. Ablutions finies Bernard songe à enfiler le flexible de douche à ces dames qui acceptent de fort bon gré cette intromission dans leur anus. En sortant Bernard entraîne Valériane. Anne qui a pourtant déjà eu une séance fait grise mine : — Ne fais pas cette tête-là, tu as déjà beaucoup baisé ces dernières vingt-quatre heures, Valériane a du retard… Allez, on ne va pas te laisser sur la touche, quoique je me rappelle que tu aimes bien mater. Allonge-toi. Je suis sûr qu’elle va se faire un plaisir de te dispenser quelques gâteries en attendant ton tour pendant que je la baise. Mais il faudra lui rendre la politesse. Elle est déjà sur le lit, cuisses ouvertes, avant même ...
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