Le Boss - Chapitre 2
Datte: 14/12/2018,
Catégories:
ffh,
hplusag,
Collègues / Travail
fsoumise,
fdomine,
hdomine,
entreseins,
Oral
pénétratio,
fdanus,
fsodo,
confession,
... quotidiennement, comme je lui offrirais une ligne de coke jusqu’à ce qu’il ne puisse plus décrocher. Malgré son approche de la cinquantaine, Varmois reste un sportif. Il me pilonne comme on fait un jogging, régulièrement et sans effort. Il peut continuer sur ce rythme longtemps. La seconde séance avait été interminable ; il était resté plus de trois quarts d’heure à aller et venir dans mon anus, comme pour tester ma résistance. Je n’avais rien montré de la douleur due à l’irritation qui montait. Le soir, je m’étais enduite de pommades apaisantes, mais il m’avait de nouveau enculée dès mon arrivée au bureau, le lendemain matin à neuf heures, et avait recommencé juste avant la pause du déjeuner, presque aussi longuement. J’eus ce jour-là le feu au cul, au sens propre. Les muqueuses de mon rectum ne supportaient plus le contact de sa queue ; j’avais l’impression qu’on me labourait avec un fer porté au rouge. Pourtant, stoïque, j’étais restée impassible, et je l’avais senti frustré. Il attendait de moi une protestation, voire un refus ; je ne lui avais rien offert de tel. Je restais quoi qu’il arrive, Léa Lomont, la longiligne brune aux cheveux jusqu’aux reins, glaciale et distante, faisant mine de ne même pas remarquer qu’un sexe de belle taille me pilonnait le fondement. Les deux jours suivants, il m’avait laissée en repos. J’en avais presque été frustrée. J’aurais voulu lui montrer à quel point je suis forte et indifférente à ses saillies. Mais le suis-je ? La séance du ...
... jour commence à durer. Nous avons dépassé la demi-heure. Va-t-il de nouveau pousser ma docilité à ses limites ? Non, il s’extrait complètement, sans avoir terminé. Je reste immobile. Je sais qu’il aime regarder mon anus se refermer lentement lorsqu’il en sort. Sa main passe à côté de moi, attrape le téléphone. — Mademoiselle Ekhart ? Dans mon bureau s’il vous plaît ! L’ordre que chacune d’entre nous reçoit régulièrement a été lancé d’un ton détaché. Jamais depuis le premier jour, celui où il s’est déversé dans la gorge de notre belle DRH sur le retour, il n’avait convoqué une autre fille en ma présence. Lucie Ekhart travaille à la compta, à l’étage en dessous. Je la range dans les jolies dindes sans intérêt. Blonde à la peau très pâle, de taille moyenne, un très joli minois, une poitrine qu’on devine opulente, et sous une taille fine un cul agréablement moulé surmonte deux jambes que les hommes doivent souvent avoir envie d’écarter. Pour moi, elle fait partie du petit personnel, un de ces rouages indispensables mais guère valorisants qui permettent à la boîte de tourner. Je suis surprise. Je n’imaginais pas que Varmois se tapait aussi des filles à l’intellect aussi succinct. Peut-être l’ai-je surestimé, ou plutôt me suis-je surestimée en me fantasmant comme faisant partie d’une élite. On frappe timidement à la porte. — Entrez, Mademoiselle Ekhart. Varmois n’a pas même pris la peine de refermer son pantalon et c’est bite au vent qu’il l’accueille. Elle porte un jean et un petit ...