Le Boss - Chapitre 2
Datte: 14/12/2018,
Catégories:
ffh,
hplusag,
Collègues / Travail
fsoumise,
fdomine,
hdomine,
entreseins,
Oral
pénétratio,
fdanus,
fsodo,
confession,
... chemisier un peu cheap. Je suis toujours à quatre pattes sur le fauteuil, le cul tendu vers l’extérieur, mais il m’a fait pivoter légèrement et je peux observer son nouveau jeu. La petite secrétaire-comptable garde les yeux baissés dans une attitude modeste. Elle sait très exactement ce que son patron a en tête. Son regard, après m’avoir balayée un instant, est vissé sur la braguette de Varmois d’où sort ce vit imposant que nulle d’entre nous n’a jamais vu au repos. Elle affiche une humilité qui m’insupporte. Serais-je tout simplement jalouse de sa présence ? — Il y a longtemps que nous n’avons pas eu un petit entretien, n’est-ce pas Lucie ?— Non Monsieur. Enfin, oui Monsieur.— Baissez votre jean jusqu’aux genoux, Lucie. Non, pas le string. Gardez-le. Certaines pièces de tissu accroissent de façon intéressante le potentiel érotique d’une situation, celle-ci en fera partie. Elle s’exécute sans ciller et s’exhibe au centre de la pièce, son jean tire-bouchonné sur les genoux. Elle porte un joli string de dentelle blanche, plutôt transparent. Un mignon petit truc de chez Aubade, à vue de nez. — Montrez-nous maintenant votre poitrine. Se maintient-elle toujours avec la même vaillance ?— Bien sûr Monsieur ! Quelques boutons pour défaire le chemisier, et le soutien-gorge apparaît, assorti au string. Sans marquer d’arrêt, elle le défait d’un tour de poignet assuré. Deux seins beaucoup plus gros que je ne l’aurais imaginé apparaissent, masses blanches et fermes, naturelles sans ...
... aucun doute, dont la lourdeur est compensée par de minuscules aréoles roses haut placées. Sa peau au grain très fin lui donne l’air d’une poupée de porcelaine. Elle garde les yeux baissés. Empotée, elle ne sait que faire du chemisier et du soutien-gorge que, sans s’en rendre compte, elle tord dans ses mains. — Léa, comprenez-vous maintenant pourquoi mademoiselle Ekhart fait partie du personnel de notre société ? J’acquiesce. — Sans aucun doute. Varmois avait manifestement affecté à chaque employée une tâche. Il m’avait choisie pour mon cul, j’étais son enculée. Sophie Bertin, la DRH, était la bouche. Lucie Ekhart possédait une poitrine exceptionnelle, et l’image du sexe de Varmois coulissant entre ses deux globes s’était immédiatement imposée à moi : avec elle, il jouait au notaire. J’imaginai le sexe de Varmois coulissant entre ses seins lourds jusqu’à ce qu’un jet saccadé vienne frapper le doux visage consentant. — Quel a été l’objet de notre dernière entrevue, mademoiselle Ekhart ?— Vous… avez… fait votre truc et puis dit que c’était la dernière fois que vous aviez besoin de moi, Monsieur Varmois.— J’ai dit « de cette façon » ! Vous tronquez la fin de ma phrase. La citation exacte est « C’est la dernière fois que vous me servirez de cette façon, Lucie ». Il est temps maintenant de développer votre potentiel. Savez-vous que j’ai sodomisé mademoiselle Lomont quelques minutes à peine après qu’elle ait pour la première fois pénétré dans ce bureau ? C’était pour elle une chose ...