1. La croisière (4)


    Datte: 14/12/2018, Catégories: Hétéro

    ... ses fesses. Elle gémit sous cette caresse. — J’ai envie de toi, mon amour ; si tu savais comme j’aimerais te sentir au fond de mon ventre… — Moi aussi, Isabelle ; tu sens comme ma queue est dure ? — J’ai envie de me conduire mal, d’être une vraie salope. — Hum, je pourrais te baiser au milieu de tous ces gens… La musique s’arrête. À regret ils se décollent l’un de l’autre. Leurs vêtement sont froissés et humides. En arrivant vers la table, Isabelle suggère à Marc : — Fais danser Raphaëlle, mon amour. Marc cherche le regard d’Isabelle, mais elle préfère l’éviter. — Jolie moussaillon, me feras-tu l’honneur d’une danse ? — Avec plaisir, mon brave ! Si le ton reste à l’humour, l’ambiance est plus grave. Est-ce le vin, la chaleur lourde de ce début de nuit ou l’atmosphère si particulière entre eux trois ? Marc entraîne Raphaëlle. Un rock d’abord, qu’ils dansent parfaitement, s’amusant à inventer des figures improbables. Quand Marc fait tourner Raph, la jupette évasée tourne, dévoilant un string vert d’eau. Quand la musique change pour un slow, Raphaëlle a un moment d’hésitation ; c’est Marc qui l’attire contre lui pour la faire danser. Isabelle les regarde. Elle voit les corps unis par la danse. Ils bougent très peu. Elle sait que sa fille doit sentir la queue raide de son amant. Elle devrait sans doute arrêter ce jeu, mais elle ne le veut pas. Sa fille a posé sa joue contre le torse de Marc. Elle danse les yeux fermés. La main de Marc au creux de ses reins la guide. Sa main ...
    ... descend un peu pour se poser sur le haut des fesses de la jeune fille qui soupire de plaisir. — Raphaëlle… — Oui ? — Il vaut peut-être mieux arrêter, non ? — Tu crois ? Oui, tu as raison. C’est plus « raisonnable ». Avec un soupir, elle s’écarte de son danseur et ils rejoignent la table où les attend Isabelle. Ils finissent leur verre en silence. Isabelle a posé sa main sur la braguette de Marc. Elle sourit à sa fille. — Je crois qu’il faut rentrer maintenant. Ils marchent bras dessus, bras dessous. Raphaëlle s’arrête pour rattacher la lanière de sa sandale. Elle voit que Marc a passé la main sous la robe courte de sa maman qui se laisse ainsi caresser les fesses. Elle est très troublée, excitée par tout ce qui vient se passer. C’est un moment unique, qu’elle voudrait voir durer longtemps. Elle a envie de faire l’amour. Elle a envie de Marc. Elle se sent troublée par sa maman, par sa beauté, par son animalité, par ses attitudes ambiguës. Elle sait déjà qu’elle va passer la nuit à écouter leurs bruits et à jouir ainsi. Ils arrivent au bateau. La chaleur dans le carré et les cabines est encore suffocante. Ils n’ont pas allumé les lumières, mais les réverbères du quai éclairent l’intérieur du bateau d’une lumière tamisée. Raphaëlle boit un verre d’eau. Isabelle est debout avec Marc derrière elle, qui a plongé son visage dans ses cheveux. Il a une main sur le ventre de son amante. — Bébé, je… euh, je vais profiter de mon ivresse pour te dire quelque chose d’insensé. — … — Je sais que ...
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