1. Visite d'adieux


    Datte: 15/12/2018, Catégories: BDSM / Fétichisme

    ... fasse qu’une bouchée de ton mamelon et glissant de nouveau mon petit doigt j’observe un relâchement évident et prometteur. Je t’encule. Avec un petit doigt ! Ta jouissance dure. Je me concentre sur l’intérieur de ta moule que je mixe maintenant à trois doigts et tu te détends tellement, comme un appel à une large pénétration que je sens ma main s’enfouir dans tes entrailles. Je te pilonne maintenant en profondeur, tu as relevé ton buste et le souffle coupé, rouge comme une parturiente tu m’invites à accélérer la cadence et à t’enfourner comme une dinde à farcir. Je sens une crampe qui me monte dans le biceps, tes genoux sont levés au plus haut, tu gicles de partout comme si tu pissais et là, tu pousses un hurlement d’animal blessé. Et tu perds connaissance. Merde, celle-là on ne me l’avait jamais faite ! Tu es là, pâle comme une morte, un léger sourire sur les lèvres qui laissent passer un souffle court et saccadé. Tes jambes largement écartées ne cachent rien de ta féminité. Ton sein gauche est à vif, j’aurais dû me raser de plus près. Le canapé est inondé. Enfin tu ouvres un œil, puis deux…. Salaud. C’est le premier mot que tu prononces. Sans même tenter d’essuyer quoi que ce soit, tu te relèves et me tournant le dos, à genoux sur le canapé, tu me tends la croupe. Quel cul ! C’est ton point fort. Ton cul est au-delà de toute imagination, costaud sans être massif, moulé de manière régulière, d’une peau de pêche insoupçonnable, j’ai envie de bouffer ton cul. Je passe ma ...
    ... main dans ton entrejambe inondé et fais remonter de l’humidité vers ton anus. Tu comprends mes intentions et tentes de m’en dissuader. Une bonne baffe sur le haut de ta cuisse te rappelle que tu dois fermer ta grande gueule et juste faire ta chienne. Tu sais faire ça, c’est dans ta nature de salope. Fille de salope. Je te hais mais je suis incapable de te faire souffrir, t’humilier encore ça passe, mais je n’accéderais pas à ton pucelage anal sans précaution, sans préambule dans le vestibule. Mon pouce bien graissé de tes écoulements tourne maintenant sur ta rondelle toujours crispée, ce muscle est redoutable à qui ne sait lui parler. Si je ne l’apprivoise pas je cours à l’échec, n’étant armé que d’une courte bite pas toujours d’une raideur militaire. Je ne sais pas pourquoi, mais maintenant tu entreprends de te branler au rythme de mes caresses et je pressens un léger relâchement du sphincter. Mon pouce entre à demi et amorce un léger va et vient pendant que ta main s’active un peu plus vite. Je pousse un peu, tu résistes, tu te resserres. Ça ne va pas le faire. Pousse comme si tu voulais chier. Je m’entends hurler ce cri d’agacement. Tu comprends aussitôt et je l’engage entièrement jusqu’à la base de sa partie la plus large. Et là, surprise ! Je constate que tu t’es emplie le fion de gel. Juste ce qu’il faut pour que mes allers et retours soient indolores. Tu n’as d’ailleurs rien manifesté qui puisse me faire penser que tu souffres. A force de manipulation, une vraie détente ...