Qui va à la chasse...va à la chasse.
Datte: 15/12/2018,
Catégories:
fh,
ff,
ffh,
hplusag,
frousses,
rousseurs,
alliance,
fépilée,
forêt,
Collègues / Travail
entreseins,
Oral
69,
pénétratio,
fsodo,
hdanus,
humour,
... Pourtant, ça a son charme, murmure Valérie en se caressant le postérieur. – Jeudi – Dernier jour de chasse aujourd’hui. Mes deux jolies clientes me sautent au cou. — Doucement, mes dames, je commence à fatiguer un peu. Ce matin, j’ai eu des difficultés à me lever, mes genoux grinçaient, ma hallebarde, si prompte à hisser les couleurs dès potron-minet, peinait à lever la tête ce matin. La pauvre, elle a trop fait la fête ces derniers jours. — Tu es fatigué ? C’est à cause de nous ? Nous sommes désolées. Toutes deux de me câliner, de me servir un café, quelques fruits secs et des croissants. — Nous avons quelque chose pour toi. Valérie va farfouiller dans une valise. — J’ai trouvé ça sur internet, paraît que ça a servi dans un film X,« Que la force soit dans ton string ». Un plagiat porno de « L’Empire contre-attaque ». Elle me met entre les mains deux godes tellement étranges que même Georges Lucas n’aurait pas osé en rêver. Ils ressemblent aux sabres lasers des Jedi, l’un émet une lumière verte, l’autre rouge. Ils vibrent et produisent les mêmes sons que les engins de la saga, deszoooooz et desbzzz. — Obi Wan Kenobi, j’ai besoin de votre aide ! me dit la jeune princesse Lisa en écartant les jambes. J’approche le sabremichet vert de son Faucon Millénium, l’engin vibre, je le passe délicatement sur ses lèvres purpurines, sans oublier son petit bourgeon. Elle démarre au quart de tour, elle va bientôt atteindre la vitesse supraluminique. Je fais pénétrer le gode dans sa nébuleuse ...
... de la Lyre tandis qu’elle pousse unRahh de satisfaction. — De moi t’occuper tu dois, intervient Valérie. Elle est agenouillée, me présente son adret et son ubac en une seule vision. — Je ne vous oublie pas dame Yoda, plaisanté-je en lui caressant son autel de la volupté. Je ne me débrouille pas trop mal, je fais coulisser mes lasergodes dans les deux fourreaux, aux petits cris qu’elles poussent elles semblent apprécier. J’oubliais qu’elles étaient à l’huile et au vinaigre, elles décident de se rejoindre, tête-bêche, histoire de me donner des idées, disent-elles. Des idées j’en ai à revendre. Je les admire se dévorer le mille-feuille. La belle-mère au-dessus m’offre une jolie perspective. Je nettoie, lubrifie les deux godes et en introduit un dans son popotin, l’autre dans sa mandoline, la belle-fille lui écarte les fesses pour m’aider. — Nom de dieu, il m’a eue à revers, comme Blücher ! Lise éclate de rire, placée comme elle est, elle ne rate rien du spectacle offert. Les deux femmes s’acharnent l’une sur l’autre, le regard de la plus jeune se voile, ses doigts se crispent sur les fesses de Valérie. — Ah ah ahhh, est leur conclusion commune. Affalée sur le ventre de sa belle-fille, Valérie reprend son souffle. Je les embrasse, je passe un linge humide sur leur visage et je dépose trois Ti’ punchs sur la table. Tandis que nous dégustons, Lise jette un regard sur ma boussole qui indique fièrement le Nord. — Tu reprends du poil de la bête, dis donc, nous te faisons de l’effet ! ...