1. Qui va à la chasse...va à la chasse.


    Datte: 15/12/2018, Catégories: fh, ff, ffh, hplusag, frousses, rousseurs, alliance, fépilée, forêt, Collègues / Travail entreseins, Oral 69, pénétratio, fsodo, hdanus, humour,

    ... satisfait du devoir accompli. – Mercredi – — Tu es sûre ? Je peux y aller.— N’aie crainte, j’ai tout lubrifié, tu peux descendre. Je tiens le manche.— Si tu le dis, j’ai le trac quand même.— Faut un début à tout, ne fais pas la fine bouche, tu es gâtée, c’est du matériel de premier choix. Je suis allongé, doté d’une belle érection, belle-maman me tient la queue bien verticale. Accroupie devant moi Lise abaisse son fessier vers mon missile, c’est une première pour elle. — Ça y est, ça rentre.— Valérie, c’est trop gros, je ne pourrai jamais y arriver.— Mais si, tu en es au quart, ça pénètre comme dans du beurre, le plus difficile est passé. Respire à fond, descend d’un seul mouvement, sans à-coups. Tu ne dois rien laisser dehors, ce serait du gâchis. Valérie me chatouille l’anus, je me cambre, m’enfonçant brusquement entre les fesses parsemées de taches de rousseur. — Aïe !— Et voilà, tout est entré. Tu vois que tu y es arrivée presque toute seule, maintenant tu dois bouger.— Bouger ? Non, impossible.— Mais si, Pierre, aide-moi. Je la prends par la taille, la soulève et la fais redescendre. — Tu es un gros vilain. Mais elle continue d’elle-même le mouvement en se triturant le bout des seins. — Ça va mieux.— Il faut juste de l’entraînement. Cent fois sur le métier…— Allez-y mollo, toutes les deux, ayez pitié… cent fois, faut pas pousser. Elles se marrent et m’embrassent. Lorsque je change de fesses, ou qu’elles me remettent en forme par une petite gâterie, elles prennent bien ...
    ... soin de faire ma toilette intime. Popaul n’a jamais été savonné autant de fois en une journée, il brille comme un sou neuf. Lise se venge un peu de sa belle-mère. Valérie, empalée sur moi, se laisse aller le dos contre mon torse, je lui caresse les seins et lui mordille le lobe de l’oreille. Un sourire coquin aux lèvres, la jeune rousse introduit deux doigts dans l’orchidée de Valérie et lui caresse le pistil avec le pouce. — Rohh, nom de nom, rugit-elle. Tu mériterais que je le dise à ton père.— Tu ne diras rien, tu es trop bonne !— Je confirme, tu es très bonne, dis-je, histoire d’ajouter mon grain de sel.— Ne t’y mets pas toi aussi. Quatre fesses remuent devant moi, pour me faire pardonner je passe une langue délicate sur les orifices malmenés par mes soins, je fais le tour de chaque périphérique. — C’est vrai qu’il a la langue agile,— C’est un plaisir de disserter avec lui, je l’écouterais des jours et des jours.— Ah ! Ce n’est plus sa langue, il parle avec ses doigts, le langage des signes.— Moi, ce n’est pas un doigt. Prendre une douche avec deux femmes qui ne songent qu’à me savonner à un certain endroit de mon anatomie pose de nombreux problèmes, l’anatomie en question ne reste jamais au repos. Nous sommes décents, lavés, habillés et buvons une tasse de thé lorsque les chasseurs rappliquent, accompagnés de sangliers morts. — J’ai appris quelque chose aujourd’hui, clame le chasseur tout heureux.— Quoi donc mon papa ?— Il ne faut jamais tirer un animal par-derrière.— ...
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