1. Vacances, sexe et exhib. (10)


    Datte: 15/12/2018, Catégories: Voyeur / Exhib / Nudisme

    Shopping Aujourd’hui, c’est le dernier jour de travail de Pat. Je suggère aux filles d’aller faire du shopping. Dire à ces deux Parisiennes qu’on va faire du shopping est pour elles un évènement assez exceptionnel pour plusieurs raisons : le manque de temps, et les prix souvent prohibitifs des magasins parisiens les obligent à acheter leurs fringues le net. Sauf que là elles sont en province, en vacances, et que ce sont les soldes. — Les filles ! Journée shopping, ça vous tente ? — Ah, bah oui ! Ça nous changera du net, et peut-être allons-nous trouver des trucs sympas, approuve Élodie. — Tu as raison, ma chérie ; allons nous baigner dans cette folle avidité de bonnes affaires ! Jetons-nous corps et âmes dans ce flot humain prêt à te marcher sur la gueule pour t’arracher le vêtement tant convoité et dont tu viens de prendre le dernier exemplaire. — Tatiana, tu es en forme, on dirait ; donc on y va ? — Allons, conduis-nous dans ton carrosse rouge vers ces lieux avec cabine d’essayage où ma Chiwie se mettra nue pour passer de belles robes en solde. — Dis-moi, ma puce, tu as pris quoi au petit déjeuner ? Tu n’imagines pas que je vais mefoutre à poil dans une cabine de grand magasin ? — Bon, les filles, au lieu de vous raconter des conneries et de vous bouffer le museau, bouffez-vous la chatte ; et quand vous aurez fini, nous pourrons y aller à moins qu’on attende la fermeture des magasins. Allez, en route ! Flûte, il faut un peu d’autorité avec ces deux chattes en chaleur ! ...
    ... Nous voici fin prêtes toutes les trois, en robe pour moi, celle à boutons pression devant, plus facile à enlever. Les filles en short tee-shirt et espadrilles aux pieds. Direction le « Plan de campagne » ; tout le monde connaît ? Oui ? Non ? C’est un gigantesque centre commercial au nord-ouest de Marseille ; je crois qu’il y a une quarantaine de magasins de fringues et de chaussures sur les quatre cents enseignes que compte cet immense centre commercial : de quoi avoir mal aux pieds en fin de journée ! Nous faisons le tour des boutiques, et bien sûr, comme toute fille qui se respecte – et à trois, en plus – je peux vous dire que le marchand de strings a intérêt à tirer toutes les ficelles pour nous vendre ses triangles à ficelles. Au bout d’un moment, je repère des robes courtes sans bretelles, des robes-bustier en vrai qui tiennent toutes seules au-dessus des miches. J’interpelle les filles. — Hé, les filles, vous avez vu ces robes-bustier pas mal et pas chères ? J’en essaye une. Je cherche ma taille ; je prends 36/38, je verrai bien. Direction la cabine d’essayage. J’enlève ma robe et enfile l’autre. Un coup d’œil dans la glace ; avec ce genre de robe, je peux ne pas mettre de soutien-gorge : le tissu gaufré masque mes tétons, on ne voit quasiment rien. Pour le bas, en tendant le tissu sur les fesses, j’aperçois la ceinture de mon string. Je l’enlève et défile devant les filles. — Comment vous trouvez ? — Vas-y, avance. Plus loin. Tourne. Reviens. Pas mal… elle est un peu ...
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