Vacances, sexe et exhib. (10) - Histoires de Sexe

Vacances, sexe et exhib. (10)

... paires. Elles sont assises sur un petit banc prévu pour les essayages, la robe relevée jusqu’en haut des cuisses et la minette à l’air. Je suis en face d’Élodie qui me lance un clin d’œil et écarte les jambes, me laissant voir sa jolie fleur. Je lui souffle à l’oreille : — Il y a du monde, et on voit tout. — M’en fous ! Dans la boutique, j’aperçois deux mecs qui ont repéré notre manège. Ils s’approchent, l’air de rien, cherchent des chaussures qu’ils ne pourront pas porter ; ils se tordent le cou pour mater Élodie. Il y en a un qui a vu le miroir incliné placé juste devant Tatiana. Nous nous regardons ; un simple regard, un clin d’œil : nous nous comprenons. La coquine écarte les jambes. Le mec derrière elle, les yeux fixés sur le miroir, est en train de se rincer l’œil. Tatiana, sur mon regard, joue à cacher et découvrir son entrejambe, remonte le bas de sa robe de plus en plus haut comme si de rien n’était. L’homme n’en perd pas une miette : rien qu’au rictus de son visage troublé, je suis certaine qu’il doit bander. Tatiana se lève d’un bond ; le mec lui mate le cul. Un clin d’œil, et elle se retourne. Le mec, surpris, rougit, gêné, et continue son chemin. Tatiana le suit du regard : il s’en va sans même se retourner. Élodie a suivi toute la scène avec un intérêt tout à fait légitime. — Eh bien, ma Chiwie, tu allumes les mecs maintenant ? C’était pas mal. Tu as vu la tronche qu’il a faite quand tu t’es retournée ? — Hum-hum. À ton tour maintenant, ma puce ! — OK. Hum… je… ...

... le mec là-bas… La voilà qui se dirige tranquillement vers le mec. À trois mètres de lui elle se plie en deux et, jambes tendues, attrape une boîte de chaussures ; elle nous expose son derrière et le reste. Le mec a vu ; visiblement, il n’est pas à l’aise du tout. Puis elle revient vers nous comme si rien ne venait de se passer et s’adresse à moi : — Et toi, Julie, tu nous fais quoi ? — Attendez tout à l’heure : je connais un autre magasin de fringues ; vous allez voir… Je les entraîne vers une autre boutique où les portants sont assez hauts et je choisis une allée où il y a des robes, des jupes. — Vous voulez un exhib, les filles ? — Où ? Ici ? interroge Élodie. — Oui. — Même pas cap ! ricane Tatiana. Sans répondre, je déboutonne ma robe, l’ouvre en grand, et choisis un robe sur le portant. Je fais glisser la mienne au sol, me retrouvant entièrement nue au milieu de l’allée, puis j’enfile l’autre pour l’essayer. Le manège se reproduit plusieurs fois sous les yeux hagards des filles jusqu’au moment où un jeune couple qui se tient par la main entre dans l’allée alors que je suis nue au beau milieu. Les deux amoureux se regardent, me regardent ; je ne peux m’empêcher de passer ma langue sur mes lèvres dans un mouvement sensuel tout en me caressant. Le couple se regarde. La fille me lance un clin d’œil complice et entraîne son amoureux vers une cabine d’essayage après avoir attrapé une jupe au hasard. La suite, je ne la connais pas, mais je l’imagine aisément. Avec Pat, on a fait ...