1. Sublimation


    Datte: 15/12/2018, Catégories: fh, Collègues / Travail voiture, entreseins, Oral pénétratio, fantastiqu,

    ... responsable. « Mon Dieu, mais qu’a-t-il donc ? Je ne l’ai jamais vu ainsi. Il a le teint terreux, la mine défraîchie. » Elle se posait des questions. Elle le couvait encore, cet ancien amant qui l’avait tellement fait jouir. Il lui avait appris à aimer des actes d’amour que jamais elle n’aurait pensé réaliser. Elle s’était offerte, ouverte à lui, pour vivre ensemble des moments de pur bonheur. Annie pensait encore à cette hampe, terminée par ce gland violet qui la rendait folle. Avec Balou, elle aimait boire son nectar, sucer sa verge longuement, caresser ses cuisses musclées et poilues. Elle adorait par-dessus tout voir la crispation de son visage lorsqu’il atteignait l’orgasme, les petites fossettes qui se creusaient. Il jouissait alors dans sa bouche, ou sur son visage car elle aimait se faire asperger par ce mâle trentenaire. Souvent aussi, elle attachait Balou aux quatre coins du lit. « Je suis ton Mâle », lui disait-il. « Use de mon corps, et jouis pour moi », tels étaient les désirs inavoués qu’elle avait réussi à faire surgir de lui. Alors, nue, elle se frottait contre lui. Peau contre peau, sueur contre sueur, elle le respirait, elle le sentait, le reniflait. Annie était une femme très sensible à l’odorat. Une odeur, un parfum pouvait attiser ses envies d’amour. Balou gémissait, prisonnier de son amante. Annie léchait chaque parcelle de son corps, s’attardant souvent sur sa poitrine dont elle mordillait les bouts. Des morsures aussi elle en offrait aux flancs du ...
    ... garçon, vers le haut des fesses, et délice suprême, mordiller une fesse ronde, elle adorait cela. Mais jamais jusqu’au sang. « Tu es ma Vampirella », lui disait-il. Cette mise en bouche pouvait durer facilement une à deux heures, pendant lesquelles elle se masturbait devant lui, ce qui le rendait fou de désir. Annie lui offrait après ses doigts couverts de son jus d’amour qu’il suçait impatiemment. Souvent également, elle s’agenouillait sur son visage. Ainsi, son Mâle la faisait jouir simplement avec sa bouche et sa langue. Elle aimait cet homme. Plus tard, elle le libérait progressivement. Après, venaient les corps à corps torrides, mêlés de cris, de halètements, de gémissements. Imbriqués, ne faisant qu’un, ils jouissaient violemment plusieurs fois, dans le stupre et la sueur. La belle libertine posait ensuite sa tête sur le ventre de son amour, pour se laisser bercer par la délicieuse béatitude. « Allez ma vieille, secoue-toi, la nostalgie ne mène à rien. Tu es heureuse en amour, laisse ce petit jeune apprendre encore davantage de la vie », furent ses pensées en sortant de la torpeur de ses souvenirs. ……………………………………………………………… Balou pianota fébrilement sur le clavier de l’ordinateur. Aucun message de la part de Magali. Déçu, il retourna vaquer à son activité commerciale. « Vous avez un nouveau message », afficha son écran. Balou, continua d’étudier le dossier devant ses yeux. Il avait coupé le son, détestant les carillons informatiques de toute sorte. Trente minutes passèrent ...
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