1. Autobondage (1)


    Datte: 16/12/2018, Catégories: BDSM / Fétichisme

    Dès mon plus jeune âge j’ai été attiré par le BDSM. Bien entendu, ça n’était pas sous une forme élaborée et sexuelle. Simplement les scènes ou les récits où il était question de liens, de chaines, de fouets, d’esclaves peu ou pas vêtus m’attiraient et me troublaient. Adolescent ce fut un de mes clichés favori de masturbation. En parallèle j’ai bien sur expérimenté une sexualité tout à fait classique avec des copines, puis quelques liaisons, mais évoquer les jeux SM, même très softs, était tout simplement inimaginable, sauf à passer pour un dangereux détraqué. Il faut dire que c’était il y a déjà pas mal d’années et qu’histoire d’O était considéré comme un délire érotique irréaliste et irréalisable. J’ai eu ma première expérience de dominateur, par hasard, à 24 ans. Je suis resté dans cette attitude pendant une dizaine d’années. Jusqu’au jour où une « esclave » particulièrement coquine et joueuse a demandé à inverser les rôles. J’ai dit oui, je confesse que ça ne m’a pas déplu, et je suis donc devenu « switch », changeant de bord au gré de mes rencontres et des situations. Je raconterai peut-être tout cela un jour mais ce n’est pas l’objectif pour le moment. Suite à des évolutions privées et professionnelles diverses, après avoir longtemps résidé en région parisienne, j’habite désormais dans une très agréable maison ancienne, vaste et relativement isolée, dans un hameau d’un village lui-même éloigné des grandes agglomérations. Autant dire que les rencontres amoureuses ne sont ...
    ... pas faciles à organiser, en particulier quand les jeux envisagés sortent des pratiques habituelles, même si le récent « 50 nuances de Grey » a fait un peu avancer les choses. Par ailleurs, je suis très joueur, j’aime les jeux et les gages érotiques, les défis un peu fous. En plus des contraintes en elles-mêmes, j’adore me mettre volontairement dans des situations d’où je peux plus me sortir sans prendre des risques où y laisser quelques plumes. Un exemple simple : quand j’habitais en région parisienne, mettre mes clés dans ma boite aux lettres du hall d’entrée. Une fois dans mon appartement, me mettre nu et sortir sur le palier en claquant la porte derrière moi avec simplement la clé de ma boite aux lettres attachée autour du cou par une cordelette : une fois la porte fermée aucune autre possibilité que de descendre dans le hall à poil et de remonter dans la même tenue. La première fois, c’était en été, je suis descendu en slip de bain très très tard. Et déjà ça, c’était excitant. Mais je me suis traité de dégonflé. Un bon moment après, j’ai récidivé en allant jusqu’au bout du défi. Je suis sorti en slip mais je l’ai retiré pour le faire tomber dans le vide-ordure du pallier. C’est totalement nu que j’ai descendu, puis remonté, les quatre étages, avec en prime une belle érection. A chaque fois que je fais des folies de ce genre, quand le piège dans lequel je me suis mis se referme, je me dis que je suis dingue, que c’est fini, je laisse tomber ces jeux, plus jamais ça… Mais ...
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