1. Autobondage (1)


    Datte: 16/12/2018, Catégories: BDSM / Fétichisme

    ... minutes. Le bondage était réussi : je ne pouvais qu’à peine osciller un peu autour de mon axe vertical. Et puis l’ice-timer a commencé lentement à fondre. Comme j’étais juste en dessous, les gouttes d’eau glacées se sont mises à me tomber dessus régulièrement. Du fait de mes quelques mouvements et de la hauteur du bloc de glace, les gouttes tombaient au hasard et me faisaient souvent sursauter. Ce qui se répercutait douloureusement dans mes pinces lestées de poids. Peu à peu, j’ai senti les muscles de mes bras et de mes jambes s’ankyloser. Mes menottes me mortifiaient les poignets. Malgré l’inconfort et la douleur, je bandais toujours autant. Le temps passait, et lorsque j’essayais d’apercevoir le glaçon au-dessus de ma tête j’avais l’impression qu’il était toujours aussi gros. J’ai commencé à paniquer, car s’il était certain que je finirai par être libre, je m’enfonçais dans un petit enfer d’une durée indéterminé qui devenait de moins en moins supportable. Paradoxalement, si une partie de moi me maudissait d’avoir fait ce jeu, une autre disait « super, tu l’as voulu, maintenant tu vas assumer jusqu’au bout ! ». Petit à petit j’ai perdu la notion du temps, mes muscles devenaient de plus en plus douloureux et se mettaient à trembler. Les pinces, qui s’étaient faites oublier un moment se mirent à me lancer de plus en plus fort tandis que les gouttes d’eau ...
    ... continuaient inlassablement à m’éclabousser au hasard. Elles étaient toujours aussi glaciales et comme j’avais très chaud le contraste de température restait aussi saisissant qu’au début. Subitement, alors que je commençais à désespérer, la corde se libéra enfin. Mon premier réflexe fut de retirer les pinces de mes seins. Le problème c’est que comme elles étaient restées très longtemps en place (j’étais resté attaché une heure et quart) la douleur fut fulgurante et me fis hurler. C’était à un tel point que j’ai hésité avant de retirer la seconde qui pourtant me lançait atrocement. Une grande respiration, un nouveau hurlement et c’était enfin fini. Les pinces de mes couilles furent un peu moins douloureuses à retirer. Mon érection, un moment en berne, revint à fond. A tel point que je n’attendis pas de me libérer totalement : après une brève masturbation, toujours menotté, ma jouissance quasi immédiate me fit gémir et un flot de sperme vint se mélanger à la flaque d’eau qui s’était accumulée à mes pieds. J’étais complètement vidé, dans tous les sens du terme. Je me libérais rapidement de ma ceinture et de mes menottes, une longue douche chaude et sitôt séché et allongé dans mon lit je sombrais dans un sommeil de plomb qui dura onze heures… A mon réveil j’étais courbaturé et mes tétons massacrés restèrent sensibles pendant presque une semaine. Un délice… jfmjttw Stop ou encore ? 
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