1. Appât pas à pas


    Datte: 17/12/2018, Catégories: fhhh, inconnu, telnet, fsoumise, humilié(e), noculotte, vidéox, pénétratio, yeuxbandés, policier, tarifé, fsoumisah,

    ... moment, tout en l’accélérant. Alors que la cadence augmentait, un rictus déforma progressivement le visage de Marie-Claire, avant que sa bouche ne s’ouvre en O sur un cri silencieux. Puis ce fut l’immobilité finale des deux protagonistes, l’homme se reposant maintenant de ses efforts, allongé sur Marie-Claire La vidéo s’arrêta. Mathilde commenta : — Pas grand-chose de nouveau sous le soleil. Cela montre qu’elle enjolivait la réalité en écrivant à Klein, en parlant de toutes ses découvertes, ses plaisirs extatiques, mais la voir habiller la réalité n’est pas une surprise. Marc était en pleine confusion, craignant de comprendre. — Euh… je crois bien que l’expression de son visage à la fin de la vidéo, c’était un orgasme, et plutôt de bonne facture… Mathilde le regarda. Ses joues étaient rouge vif. — Je parlais surtout du début… Là, on voit bien qu’elle pensait plus à sa feuille d’impôts… La gêne de la situation fut dissipée par l’arrivée d’un message. Marc serra le poing en signe de victoire. On arrivait au cœur du sujet. — Je vais finir de lui mettre l’hameçon en travers de la gorge. Je réfléchis deux minutes, et vous allez voir, je vais trouver un moyen qu’il vous mette au tapin sans même vous avoir rencontrée.— Ne réfléchissez pas. Mathilde prit le clavier, tapa, «Oui, et dès que possible » et envoya le message. — Concis et précis, c’est le mieux. Marc soupira. — Bon, à ce stade nous avons fait du mieux que nous avons pu, on verra sa réaction… Il se tourna vers Mathilde. — ...
    ... C’est une très bonne idée, votre message. Je crois que vous commencez à vous approprier votre personnage, il est logique qu’à ce stade, vous soyez portée par l’action. À ce moment, une icône se mit à clignoter. Ils avaient une réponse immédiate. Marc ouvrit le message. Mathilde grommela — Là par contre, il va trop vite. Dites-lui que je ne peux le faire que demain…— Et pourquoi pas maintenant ? Après le message précédent il ne comprendra pas si vous semblez vouloir gagner du temps. Klein est ferré, si on attend demain on lui laisse le temps de réfléchir, d’avoir des doutes. Mathilde montra ses vêtements d’un geste. — Vous pensez qu’il est excité par les femmes en uniforme ? Là, c’est moi qui a un doute…— Changez-vous… Fanny a des affaires dans l’armoire… Il y a un haut à col roulé qui devrait vous aller. Marc regarda dans l’armoire. Le haut irait, mais par contre, la courte jupe en jean allait être un problème. Trop « djeun », elle n’allait pas avec le personnage, et de toute façon, il lui manquait une taille, et avec le manque d’élasticité du tissu c’était rédhibitoire. — Allez voir Fanny, elle est encore là puisqu’elle est d’astreinte, et échangez vos pantalons, le sien peut passer pour civil à travers une webcam. Je vais en installer une pendant ce temps. Fanny avait la même taille et à peu près les mêmes mensurations, à une taille près au niveau des hanches, et son pantalon d’uniforme d’adjointe était bleu uni, sans les deux bandes noires d’officier de celui de Mathilde. ...
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