1. Même pas en rêve...


    Datte: 17/12/2018, Catégories: ffh, fhhh, fbi, inconnu, campagne, boitenuit, Voyeur / Exhib / Nudisme Oral pénétratio, fsodo, uro, totalsexe,

    ... me montrer son sexe et éclate de rire. C’est gagné. Ce sera donc deux cocktails et une conversation banale sur l’air du « tu viens souvent ici – non c’est la première fois et toi ? – oui je suis une habituée, je viens quand j’ai besoin de sexe torride et efficace – en tout cas c’est impressionnant, on t’a déjà dit que t’avais de beaux yeux ? » Elle rit encore, puis sans dire un mot, elle se penche entre mes jambes, dégrafe mon pantalon et entame une fellation experte. Cette fille est incroyable ! Quatre minutes plus tard, elle a tout avalé – la bouche à demi-ouverte, en me regardant dans les yeux. Une vraie pro. — Tu me ramènes chez moi ? me demande-t-elle en se relevant.— Mais comment donc ! Nous voilà dans ma voiture ; elle s’est vaguement rhabillée (un chemisier blanc très transparent) ; sur le siège passager, elle m’indique les directions d’un air rêveur en se caressant gentiment l’entrejambe. Elle habite un immeuble moderne du centre ville. Elle m’embrasse langoureusement dans l’ascenseur, je n’ai bien sûr pas débandé depuis sa fellation ; les portes s’ouvrent, elle s’avance et se met à quatre pattes au beau milieu du couloir de son immeuble. Elle relève sa jupe, glisse sa tête entre ses mains, et d’un ton suppliant : — Encule-moi ! Je m’exécute, bien évidemment. Il me faut trois coups de langue et deux doigts pour préparer le passage ; très vite, je suis au fond de ses fesses, mes mains entourant ses gros seins. Elle n’a visiblement pas peur de réveiller les voisins ...
    ... avec ses petits cris de plaisir. Je jouis rapidement au fond de son cul, du sperme coule sur ses cuisses quand elle se relève. Main dans la main, nous entrons chez elle, je la serre dans mes bras, parce que je suis un grand tendre et que ce n’est pas parce que je viens de l’enculer sauvagement dans son couloir que je n’ai pas envie d’un câlin. Elle me glisse à l’oreille : — Mmmmm… Il faut vraiment que j’aille faire pipi…— Je peux regarder ? Elle rit et m’entraîne dans sa salle de bain. Elle s’assoit, les jambes bien écartées, je m’agenouille à ses pieds et pose la tête sur sa cuisse. Elle pisse par à-coups, pour faire durer le plaisir ; elle pousse des petits soupirs de soulagement. Le liquide clair coule de son sexe en petit jets, c’est très beau à voir. — Lèche-moi… murmure-t-elle. Je me jette sur sa chatte humide et salée. Elle a gardé quelques gouttes, qu’elle lâche dans ma bouche comme un cadeau que j’accepte avec délectation. Même calée sur le siège des toilettes, elle reste sexy et glamour. Je lui mange le clitoris, caresse l’intérieur de ses cuisses. Elle ne tarde pas à jouir, les yeux mi-clos. Cette fois, on peut aller se coucher. Nous nous endormons dans son lit, moi contre son dos, comme de vieux amants. Une odeur de café frais me réveille. Je m’étire et me demande si cela n’a été qu’un doux rêve. Mais non, je suis dans un lit qui n’est pas le mien ; Sophie doit être un train de prendre un petit-déjeuner à côté. Je découvre sa chambre, lumineuse et meublée avec goût. ...
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