1. Voyages


    Datte: 09/08/2017, Catégories: fh, ffh, fbi, couplus, hépilé, fépilée, fsoumise, hdomine, cérébral, Voyeur / Exhib / Nudisme BDSM / Fétichisme Oral fgode, pénétratio, fdanus, fsodo, jouet, jeu, sm, init, confession, sf,

    ... figent alors, à l’écoute d’un plaisir qu’il contient tant bien que mal. Lorsque la dernière bille a quitté ses fesses, il s’enroule autour de son derrière pour lui glisser à l’oreille : — Vas-y, demande-le moi, supplie moi…— … Encule-moi.— …— Encule-moi, ch’il te plaît. Oh, je t’en prie, fourre moi ta queue dans le cul, enfonche ta bite dans mon petit trou, ravage moi le rectum… Braise continue encore un moment à sortir toutes les expressions les plus crues qu’elle connaisse ou puisse imaginer, faisant onduler ses fesses gainées de cuir comme une forcenée – heureusement qu’il s’est retiré de sa chatte ! Seule la sensation de son gland recouvert de mouille contre son œillet intime la fait taire. Elle essaye de reculer, de s’empaler d’elle même sur le pieu de son « instrumentiste », mais Ardent la retient, les mains sur les fesses : — Doucement, petite flamme, c’est moi qui mène la danse… Il doit prendre son temps, son « instrument » est encore très serrée, il ne veut pas lui faire mal, ni jouir prématurément… Ils expérimentent à nouveau ces sensations troubles qu’elle a déjà connues, mais ils découvrent également l’intense plaisir qu’éprouve son sexe massé par l’anneau de chair soyeuse qui le parcourt au rythme de leurs coups de rein. Leur plaisir monte, lentement, il sait qu’elle pourrait jouir ainsi, uniquement par le cul… Mais il sait aussi qu’il ne pourra tenir, sa résistance s’émousse, il ne peut supporter beaucoup plus longtemps le délicieux supplice qu’il s’est ...
    ... imposé. Il offre alors à sa compagne sa dernière surprise, glisse une main sous son ventre pour lui écarter les lèvres et y glisser un cylindre d’acier. La double pénétration la propulse sur la crête d’une immense lame de fond. Il les y maintient encore quelques ultimes et merveilleuses secondes, avant de les libérer. Le déferlement de l’orgasme les submerge, les noie, avant de les rejeter finalement, inanimés, sur les rivages du plaisir. Braise s’est effondrée, elle est maintenant allongée sur le ventre, son amant toujours encastré dans ses entrailles pesant sur elle de tout son maigre poids. Lorsqu’il se relève enfin et commence à la libérer, elle se sent bien, assouvie, pleine de son foutre. À travers ses yeux, elle se voit telle qu’il la voit, vivante image de la débauche. Alors qu’il la déshabille tendrement, il se délecte du petit ruisseau de sperme qui suinte d’entre ses fesses pour venir jouer avec sa chatte détrempée. Il lui retire enfin bandeau et bâillon et, soutenant sa tête, il l’embrasse longuement, profondément, avant de lui glisser à l’oreille : — Le concert t’a plu ?— C’était un chef-d’œuvre !— Alors repose-toi, maintenant, je te laisse ma couchette. Il l’abandonne ainsi au sommeil, lovée au milieu de son lit, gluante de sexe et d’amour. Un dernier sourire effleure ses lèvres à l’idée de la verge d’acier qu’il a vicieusement « oubliée » au creux de son ventre… Souhaitant également conserver sur son corps odeurs et humeurs de leur folle nuit, il ne se lave pas non ...