Voyages - Histoires de Sexe

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... déshabiller. Lui s’est immobilisé, enfoncé en moi jusqu’à la garde, mais sans tourner la tête vers elle – et sans débander d’un millimètre ! Lorsqu’elle a été complètement nue, j’ai pu constater qu’elle avait la chatte aussi nue que le pubis de son compagnon. Dressée au-dessus de nous, elle nous a toisés, puis lui a lancé : « Dis donc, petit salaud, je ne peux pas tourner le dos cinq minutes, que tu es déjà en train de baiser avec la première salope venue ? Ça va, la place est confortable, au moins ? » Si je ne me sentais vraiment pas à mon aise depuis qu’elle avait fait irruption dans la chambre, la réponse de mon étalon m’a permis de voir à quel jeu ils jouaient : « Enfin, Estelle, tu ne devais pas rentrer avant le semaine prochaine… Ça faisait quand même cinq très longues minutes ! Et puis, oui, on baisait bien, là, elle est chaude comme la braise. » « Ah ! Et toi, comment tu t’appelles, au fait ? » Pas encore tout à fait sûre de bien comprendre la situation, j’ai osé un « La salope s’appelle Braise, justement ! » qui l’a fait sourire : « D’accord, bon, puisque les présentations sont faites… Je veux bien te laisser profiter d’Ivan, mais il va falloir le partager avec moi, maintenant. Retournes-le sur le dos, comme ça, pendant que tu jouiras de sa queue, il pourra m’offrir sa langue. »— Elle a bien amené la chose, quoi.— Et oui, je voyais bien dans quoi je m’embarquais, mais je ne pouvais décemment pas les quitter maintenant ; après tout, j’avais bien accepté de la tromper ...

... avec son mec. Et puis, même si ça n’était pas un de mes fantasmes, je la trouvais vraiment craquante. Alors, l’excitation aidant, quand elle s’est assise en face de moi, à califourchon sur le visage d’Ivan, et a commencé à me caresser les épaules, je me suis laissée faire. J’ai commencé à éprouver un plaisir trouble lorsque qu’elle est descendue vers le bas de mes reins et mon ventre, j’ai répondu au baiser timide qu’elle a tenté sur mes lèvres… Quand ses mains sont remontées vers mes seins, je me suis cambrée à leur rencontre, avant d’empaumer à mon tour sa ferme poitrine aux tétons érigés. Notre baiser suivant a été long et profond. Je ne me remuais plus qu’à peine sur la queue de son compagnon, de peur de jouir trop vite sous ce double assaut. Il lapait toujours avec délectation le fruit juteux de son amie, s’aidant de ses doigts pour découvrir ses recoins les plus intimes. Puis Estelle s’est penchée, ses mains abandonnant ma poitrine à sa langue, pour déraper vers mes intimités, l’une restant devant pour caresser mes lèvres distendues par le pieux de chair, et me branler le clitoris, et l’autre contournant mon bassin pour plonger entre mes fesses, courir le long du sillon jusqu’à rejoindre la source débordant de fluides, et en ramener un peu vers mon petit trou. Celui-ci n’a pas tardé à être investi par un, puis deux doigts fureteurs. Sous ce traitement, nous avons tous rapidement joui. Tous deux surfent toujours précautionneusement sur la vague du plaisir en revivant ses ...