Voyages - Histoires de Sexe

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... souvenirs. — Ils n’en avaient pas fini avec moi ! Après quelques minutes que chacun a mises à profit pour reprendre son souffle, la fille s’est glissée derrière nous et s’est mise à lécher le mélange de nos foutres qui suintait de mon sexe et recouvrait celui du garçon, partiellement ramolli. J’ai embrassé son ami, goûtant sur ses lèvres le parfum de sa chatte. Elle a rejoint notre baiser, et nos trois corps se sont tendrement emmêlés. Elle m’a alors demandé : « T’as eu l’air d’aimer, quand je t’ai mis deux doigts, tout à l’heure, hein ? » Un peu surprise et gênée par la question, j’ai répondu « Ben oui, c’était pas désagréable ! » « On t’a déjà enculée ? Je veux dire, avec une vraie bite, pas juste un doigt ou deux ? » J’ai secoué la tête. « Tu veux essayer ? En plus, Ivan, il fait ça très bien, tu peux me croire. Et moi, j’adore m’occuper d’une fille qui se fait sodomiser, elle est toujours super-réceptive… » Pour être franche, je n’ai pas beaucoup hésité avant d’accepter, il fallait bien que j’essaye ça un jour, et ces deux-là avaient l’air de savoir ce qu’ils faisaient.— Ça s’est bien passé ?— Oh oui ! Ils m’ont dit de me mettre « à quatre pattes, grande ouverte et le cul bien relevé », et qu‘ils s’occupaient du reste. Ivan s’est mis également à quatre pattes derrière moi et il a commencé à me lécher, récupérant dans mon sexe les dernières traces de sperme et de mouille pour les déposer sur mon petit trou, avant de les y faire pénétrer à petits coups de langue. Pendant ...

... ce temps, sa partenaire s’était glissée sous lui, s’occupant à lui redonner toute sa vigueur. Elle a glissé une cuisse entre les miennes et a relevé son bassin jusqu’à ce que nos deux chattes puissent s’embrasser et se caresser. À mon avis, en plus de le sucer avec art et énergie, elle a dû lui fourrer un doigt dans le cul, parce que sa queue a vite retrouvé toute sa superbe. Elle s’est alors un peu reculée, rapprochant le trait de sa cible, avant de nous enduire tous deux de gel. Il a alors appliqué son gland contre l’entrée encore toute serrée, quasiment sans appuyer. Sa copine a continué à se tortiller en reculant sous moi, me dévoilant petit à petit le haut de ses cuisses, son sexe glabre et luisant, son ventre tendu, sa poitrine aux pointes toujours aussi dures… Elle s’est retournée sur le ventre, son visage tout contre le mien, et m’a soufflé tout bas : « Ne t’inquiète pas, détends toi… Ivan est très doux, il va te dilater en douceur, en prenant tout son temps… » Puis elle m’a embrassée alors que la pression entre mes fesses s’accentuait doucement. Lorsque nos deux langues se sont enfin quittées, je me suis rendue compte que le gland était déjà entré, repoussé millimètres par millimètres au plus profond de mes entrailles par le reste de la verge.— Tu n’as pas eu mal du tout ? Qu’est-ce que tu as ressenti ? Ils connaissent tous deux la réponse à cette dernière question, puisqu’ils sont en train de revivre cet instant tel que l’a conservé sa mémoire. Mais l’exprimer à voix ...