1. Notre mère la Guerre (1)


    Datte: 18/12/2018, Catégories: Erotique,

    ... passé ses mains le long de sa nuque avant de descendre le long de sa colonne vertébrale pour effleurer ses fesses. Bientôt les caresses devinrent insistantes, et elle sentie naître au fond d’elle, un désir intense et tout nouveau. Elle connaissait les hommes, mais ses picotements semblaient la transpercer et irradier un besoin irrépressible de ressentir cet homme la prendre. Son sexe se réchauffa et elle senti la moiteur de ses chairs s’intensifier sous la lubrification de son vagin. Bientôt Roland lui avait ôté ses vêtements et s’appliquait à contempler le corps de la femme qu’il aimait caressant chaque centimètre de peau blanche, détaillant du creux de sa main chaque courbe de la silhouette gracile d’Eva. Il embrassa ce fragile petit corps, mordillant les mamelons de cette poitrine angevine. Il se dirigea ensuite vers son buisson noir pour commencer à respirer les effluves féminins d’Eva qui le rendait complètement fou et lui faisait perdre toute notion de raison. Il embrassa ce sexe offert avec toute la délicatesse du monde avant d’embrasser son petit bouton d’amour. Il le tortura de langue minute en le mordillant, et jouant avec sa langue dessus. Chaque coup étant synonyme de soupirs et encouragement d’Eva. Il partit ensuite à la découverte de ses lèvres luisantes pour enfin atteindre du bout de la langue le vagin de sa bien-aimée qu’il pénétra légèrement. Il utilisa ensuite son index longiligne pour s’introduire en elle et sentir au combien ...
    ... savulve était brulante. Lui avait déjà connu les femmes dans sa jeunesse lors de quelques péchés sans conséquence mais sévèrement puni. Il savait comment faire soupirer et crier une femme, et comptait bien donner à sa dulcinée du plaisir. Peu à peu, les vêtements de Roland tombèrent sur le sol laissant apparaître son membre viril. Eva après avoir découvert le corps de son amant, se dirigea vers la colonne de chair raidie entourant difficilement de ses mains le pieu qui allait s’enfoncer en elle. Elle caressa les bourses avant de remonter sur la hampe, flattant ce gland turgescent et violacé. Sans la laisser aller plus en avant, Roland la souleva et l’allongea sur le dos. Il l’a pénétra tendrement, glissant en elle sans difficulté. Les ébats étaient restés sobres et lents mais les deux amoureux ne voulaient que ça, se découvrir et s’aimer tendrement au rythme des allers et venus de Roland. Elle se souvient de la tension dans le corps de Roland au moment de sajouissance où elle avait senti le liquide chaud se répandre dans son ventre accueillant. A ce moment elle avait ressenti pour la première fois de sa vie un moment d’épanouissement le plus total. Les deux amoureux avaient fini la nuit l’un contre l’autre. Bientôt il fut question qu’Eva suive Roland dans son village natal de Soulac sur Mer en Gironde, pour vivre à ses côtés. Cette dernière accepta de bon cœur et au printemps de l’été 1914 elle quitta la capitale en direction du Sud-Ouest de la France… 
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