1. La Hase et le Rapace - 3


    Datte: 18/12/2018, Catégories: BDSM / Fétichisme

    ... et les bas va la désigner comme allumeuse, comme salope. Elle s’en fiche, c’est exactement ce qu’elle veut. Certains, peut-être, la prendront pour une pute. Elle s’évaluera à l’aune de leurs propositions puis leur rira au nez. Cette idée qui hier l’humiliait aujourd’hui, l’excite. Elle ne sait pas pourquoi… Ou plutôt, ne le sait que trop bien mais elle refuse d’y penser. Elle teinte ses lèvres, juste avant de sortir, d’un gloss cramoisi. Elle ouvre sa porte… - Déshabille-toi ! L’homme entre. Il ne la bouscule pas, il se faufile. Un instant interdite, elle fait demi-tour. Il se retourne et se répète : - Déshabille-toi ! Elle ne résiste pas. Sa robe tombe, ses bas suivent. Elle est nue. - Ta chambre… Elle lui montre le chemin. Il a commencé à quitter ses fringues et continue en la suivant. Arrivés dans la chambre, il la bascule sur le lit, la retourne et la prend en levrette. Il s’enfonce en elle, violemment et commence à la pistonner. Elle, entend à travers les coups de boutoir, les mots qu’il ne dit pas. « Chienne ! Salope ! Tu étais déjà prête à te faire mettre par un autre… par des autres… Combien ? Deux, trois ?... » C’est bien ce qu’elle voulait. Trois queues pour remplacer la sienne, pour oublier la sienne. Et ses mains, et ses doigts, et sa langue, et sa bouche… La cadence de l’homme ralentit. Ce n’est pas par fatigue. Elle le sait. Elle ferme les yeux. Elle fait le vide. Elle sent son corps. Son esprit se concentre sur sa chatte, sur la bite qui la pistonne à l’allure ...
    ... d’un escargot. Elle sent les parois de son sexe s’ouvrir devant le gland de l’homme et se refermer sur sa hampe. Elle sent le désarroi de son vagin quand il recule et sa plénitude quand il entre. Elle sent les petites étincelles que déclenche, au fond de son ventre, chacun des passages de la queue. Elle sent, aussi, les bouffées de plaisir qui montent de ses fesses malmenées par les claques qu’assène l’homme. Elle sent, toujours, les décharges électriques qu’il provoque quand il pince ses seins. Elle sent, surtout, son souffle qui se coupe quand il écrase entre ses doigts, son clitoris. Elle sent, enfin, tous ses poils qui se dressent quand, d’un ongle rageur, il descend la ligne de sa colonne vertébrale pour atterrir dans sa raie. Elle attend, désespérément qu’un pouce épouse son anus. Elle s’agite. Elle le quémande. Écartant ses fesses à deux mains. Mais, bien qu’il ballade sur les parois de son derrière, quelques phalanges caressantes, il évite soigneusement da s’aventurer vers la minuscule ouverture. Elle geint qu’il est un salaud, qu’elle veut qu’il envahisse son cul ! Mais la frustration est si forte, elle fût si longtemps contenue, qu’elle se transforme en plaisir emportant la femme dans l’orgasme. Il la laisse se retrouver sans cesser de la ramoner. Et, quand il estime qu’elle est prête, il la redresse. Le dos collé contre son torse, il la maintient en pinçant ses tétons. - J’en ai pas fini avec toi, murmure-t-il. Maintenant, je vais t’enculer… La jeune-femme ressent ...
«1...345...8»