Pirates!
Datte: 18/12/2018,
Catégories:
Non Consentement / À contre-cœur,
... dangereux... Sylvie lui avait monté le café. Ils avaient fait la paix. Ils avaient rediscutés plus calmement sans s'énerver et sans se disputer... C'était d'accord, ils amèneraient donc Marion à la prochaine ville ayant une ambassade française. Puis Sylvie avait un remplacé son mari qui était allé se reposer un peu après sa nuit sur le pont à faire le guet... Lorsque Jean-Jacques revenu, elle était redescendue pour aller voir Marion. Marion dormait toujours. La fatigue certainement, mais aussi l'effet des calmants... Sylvie avait œuvré à ses occupations quotidiennes en faisant attention de ne pas faire trop de bruit afin de ne pas la réveiller. Marion avait tellement dormi qu'elle avait presque faite le tour du cadran. Puis elle avait fini par enfin se réveiller. Sylvie était allée la voir. Elle lui avait fait un thé bien chaud. Elle l'avait réconfortée et rassurée une fois de plus encore. Puis comme la veille, Sylvie lui avait à nouveau passé des crèmes et des pommades apaisantes sur tout son corps, en particulier sur les marques de coups, des griffures et des morsures. Très délicatement encore elle lui avait refaite sa toilette intime. Marion sentait bien la moiteur et la douceur de la peau de la quinquagénaire, mais aussi sa gêne, son regard fuyant. La femme était troublée, aucun doute possible. Marion aurait été flattée de faire autant d'effet à une femme aussi classe, si elle ne venait pas de se faire atrocement violée par ces monstres. Dire que jusque à eux, aucun ...
... sexe humain, ni même de plastique n'était rentré en elle. Malgré ça, la jeune femme sentait que la quinqua, avait quelques part des penchants lesbiens, peut-être même était elle une homo refoulée? La fille se laissait faire très docilement. Les mains de Sylvie étaient douces et apaisantes. Mais surtout, a ce moment précis, Marion avait besoin d'amour, de réconfort, que l'on s'occupe d'elle. La jeune femme malgré son envie de hurler à Sylvie de la laisser tranquille, de lui dire que plus jamais elle ne voudrais de sexe, même avec une femme, avait choisie de se laisser faire. La jeune femme, savait que si elle cédait à sa colère, Sylvie la laisserait, qu'elle ne la réconforterait plus, pire, peut-être même que la femme la laisserait au prochain port. Marion en avait tant besoin qu'elle la laissa faire. Sylvie lui avait également refait une piqûre d'antibiotiques. Par contre elle ne lui avait pas administré de cachet, ni de calmant pour la faire dormir. Pendant deux jours Sylvie avait joué le rôle d'infirmière, mais également de psy. Pendant tout ce temps Marion ne s'était pratiquement pas levée. Elle n'était même pas montée sur le pont du voilier pour prendre l'air. Entre Sylvie et Marion, une complicité et une tendresse toute féminine semblait s'être liée. Elles semblaient très attachées l'une à l'autre. Mais pas pour les mêmes raisons. Marion voyait plus une mère en Sylvie. Une mère qui la réconfortait, l'aidait à sortir de l'enfer mental et physique qu'elle vivait, qu'elle ...