Marie - Ange & Démon (9)
Datte: 18/12/2018,
Catégories:
Partouze / Groupe
... smartphones et j’ai eu des dizaines de propositions. Alors là, maintenant…, une belle gonzesse comme ça…, pouvoir lui coller un polichinelle dans le tiroir ? Imagine un peu…, c’est pas cinq bonshommes, mais cinquante qui vont faire la queue. Et moi, en premier… L’après-midi est plus calme. Le soir, je rentre directement à mon hôtel avec la ferme intention de ne pas appeler Marie et d’attendre la suite. Nous sommes lundi, le jour de Georges. Je n’ai de nouvelles que le lendemain, elle m’invite à venir dîner. Pas un mot sur ce qu’elle a pu faire ou ne pas faire la veille. Elle a préparé un bon petit repas. Nous nous retrouvons au lit très tôt. Cela dura comme ça jusqu’au jeudi, chaque soir à baiser comme des fous ! Le vendredi, elle m’appelle en milieu de matinée. Je suis occupé sur le chantier, elle hésite, bafouille, tourne autour du pot, je la presse et finalement elle m’avoue qu’elle a encore envie d’aller chez Abdou. J’en ai le souffle coupé par l’excitation, je lui réponds dans un souffle que je peux voir ça pour ce soir, autour de moi, mes interlocuteurs s’impatientent, on m’interpelle, j’avise Abdou pas très loin de mon groupe. Je lui passe mon mobile. La journée de travail s’éternise, mais nous sommes au tout début de l’été et il fait encore jour lorsque je récupère Marie chez elle. Elle s’est préparée avec son tailleur noir, veste cintrée avec jupe en dessous du genou, escarpins rouges. À peine assise dans ma voiture je lui demande ce qu’elle a dessous. Elle se ...
... trousse un peu, jusqu’au me montrer une culotte noire étroite et transparente, j’ai la vision de bas voiles à couture, très fins, qui tranchent sur sa peau blanche Je vais pour lui faire remarquer que ce n’est pas la tenue habituelle pour une visite de chantier lorsqu’elle me déclare que c’est Abdou qui lui a demandé de mettre des bas avec une guêpière noire et de venir sans culotte, mais elle a préféré en mettre une... Elle ajoute encore qu’il a été très grossier au téléphone. Je ne la quitte pas des yeux : elle est magnifique. Ses longs cheveux châtains clairs tombent en vagues sensuelles sur ses épaules et le long de la colonne, ils sentent bon et renvoient la lumière. Ses yeux noirs étincelants sont surlignés d’une ombre violette et ses paupières roses lui donnent un regard de braise très bandant avec comme touche finale un grand collier de perles blanches et d’épaisses boucles d’oreilles créoles en or. Je pose une main sur sa cuisse et me tourne vers elle. Sentant sa chair nue entre le bas et sa jupe remontée. Elle tire dessus, machinalement. — Allons, Marie, c’est le contraire qu’il faut faire ! En me faufilant dans la circulation, je pose sur ses jambes un regard approbateur. — C’est beaucoup plus joli qu’un collant. Remontez encore. Je veux voir les jarretelles. Troublée, elle murmure que ce sont des bas Dior – J’éclate de rire. — Mais ce ne sont pas les bas qui sont jolis ! Ce sont tes jambes. Nous avançons au ralenti avec d’autres voitures. Le regard appuyé d’un ...