1. Marie - Ange & Démon (9)


    Datte: 18/12/2018, Catégories: Partouze / Groupe

    ... conducteur qui est venu à notre hauteur lui fait vivement rabaisser sa jupe. Je réagis aussitôt par un : — Remonte ta jupe. Au ras de la culotte ! Sur le moment, ma réaction me surprend, car ce n’est pas dans mes habitudes de parler ainsi aux femmes, mais maintenant je sais ce qui excite Marie. Subjuguée par ma voix dure et autoritaire, elle obéit immédiatement pour le plus grand plaisir du voyeur qui s’évertue à rester à notre hauteur. Malheureusement pour lui, il se remet à pleuvoir et, à peine remontées, les vitres se couvrent de buée. Nous quittons le centre en direction de la Joliette puis de Sainte-Marthe. Une ruelle puis un chemin couvert de terre et nous voilà devant la palissade du chantier. Le soleil est de retour. Malgré mes instructions, je constate que le portail est une nouvelle fois ouvert. J’avance un peu la voiture dans l’allée et m’arrête pour le refermer. Je vais pour sortir, lorsque sur la gauche de l’entrée, un homme sort des toilettes mobiles en se rajustant. De la poussière de ciment poudre les cheveux de cet ouvrier que je ne connais pas. Il vient droit sur nous, aussitôt Marie baisse sa jupe. — Qu’est-ce que... ? Sans la laisser finir, je prends son visage et presse mes lèvres sur les siennes, elle ouvre la bouche pour accueillir ma langue et mélanger sa salive à la mienne. Elle ne proteste pas quand je découvre ses cuisses et caresse l’entrejambe de la culotte. Elle cherche même à me retenir quand je me dégage. — Tout à l’heure ! Maintenant, je ...
    ... veux que tu ouvres ta veste. Effrayée, elle ouvre néanmoins sa veste, découvrant le haut de sa guêpière aux hommes qui ont rejoint le premier et entourent la voiture. Le pare-brise et les vitres sont encore embués. On distingue mal les visages, mais ils sont nombreux et il n’y a rien de tendre dans le désir qu’ils expriment. Marie a peur. — Mon Dieu, les portières Fred. Les portières, vérifie qu’elles sont bien fermées. — N’aie pas peur. Quand je suis avec toi, tu n’as rien à craindre. De personne. Écarte ta culotte. Je ne veux pas qu’ils voient, juste qu’ils devinent. Maintenant, sors tes nichons et caresse-toi. Marie obéit. La poitrine nue et les jambes ouvertes elle regarde les hommes qui se pressent autour de nous. Plusieurs d’entre eux se branlent. Elle caresse ses seins les yeux rivés à ceux d’un homme qui vient de coller son visage à la vitre. Je baisse sa culotte et découvre alors le gode dans son cul. — Mais je rêve. Tu es engodée ! Et depuis quand ? — C‘est Abdou, quand tu me l’as passé au téléphone ce matin. Il m’a dit de le mettre avant de partir. Pour me préparer. Je ne voulais pas, mais il a insisté… — Et toi, tu l’as écouté… Ça t’excite, hein, de te promener avec ce gros machin dans le cul. — Euh, mais non, pas du tout il a dit que si je voulais bijou, c’était mieux pour moi de ce côté-là, enfin….Il est très gros, alors…euh…c’est très gênant. — J’ai compris, alors maintenant tu vas soulever tes fesses, les écarter et leur montrer ce que tu as dans ton derrière. ...
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