1. Mariage (suite et fin) !


    Datte: 10/08/2017, Catégories: ff, fhh, couplus, Oral 69, Partouze / Groupe échange, confession,

    ... quitte son ami. La musique, ce n’est pas une surprise, est un slow langoureux. « Qu’est-ce que Paul attend de moi? Une femme fidèle qui doit refuser les avances de Fleur qui sont déjà insistantes ? Une participation active comme… » Fleur se colle contre moi.« Oh, mon Dieu, tout me revient. Sa chaleur ! Cette façon d’épouser mes formes, ne laissant pas un espace entre elle et moi… » Même ses cuisses se plaquent aux miennes dans une danse qu’elle a déjà transformée en magie sensuelle. Nous ne faisons plus qu’une. Ses tétons pointent sur les miens. Son pubis frotte contre le mien dans un mouvement obscène. Pourtant, je me contrôle.« Et si je faisais fausse route ? Si mes soupçons étaient ridicules et que je me faisais un cinéma ? » Fleur doit sentir ma résistance. J’essaie de reprendre une position plus digne, de ne la considérer que comme une partenaire de danse. Nous dansons. Paul se lève et dit : — Vous ne semblez pas en forme ! Puis soudain : — Oh, je sais, bien sûr ! C’est trop éclairé. Et il va carrément éteindre toutes les lampes, ne conservant que la lumière du couloir. De retour vers nous, il insiste : — Chérie, décontracte-toi : c’est la fête. Il est derrière moi. Son souffle est dans mon cou. — Il faut donner un cadeau à Fleur. Attends. Cela va l’encourager. Alors, passant ses mains sous ma robe, il se saisit de ma culotte pour la faire glisser le long de mes jambes et, la serrant dans sa main, la confie à Fleur. — Tenez, Fleur. Cadeau de Lucie. Et il retourne ...
    ... s’asseoir à côté de Marc. — Il sait ? je demande à Fleur le plus doucement possible. Il sait tout ? Tu étais au courant ?— C’est lui qui est venu me voir. Il sait, mais juste pour nous, pas avec Marc. Sa réponse me rassure. Avec une femme, ce n’était pas vraiment tromper ; alors qu’avec un homme ! Doucement, Fleur m’aide à me décontracter. La danse reprend le dessus. Mes sens se réveillent à nouveau. Je jette des regards furtifs vers Paul, mais il fait trop sombre pour suivre son visage. Juste une silhouette en contre-jour. Ma partenaire reprend ses travaux d’approche et maintenant je suis prête. Ses lèvres ne sont que l’avant-garde. Je fonds. « Oh, ce baiser me rappelle son odeur. » Sa langue est en territoire connu et avance sans résistance. Je n’ai plus qu’une idée : sentir la chaleur de sa peau, le grain de son épiderme, la douceur de ses flancs. Comme si c’était tout naturel, je fais sauter tous les remparts qui nous séparent. Comme moi, elle ne porte que le minimum. Son short moulant résiste un instant mais il cède sous mon insistance. Elle est nue. Je le suis aussi. Notre danse n’a plus rien à voir avec le slow. Nous nous frottons. Debout, c’est vrai, mais nous nous frottons. Ses seins pointent contre les miens. Son sexe m’excite. C’est trop bon. C’est trop fort. Je m’écroule et sur le tapis ; Fleur vient à moi. Elle propose son minou à ma bouche pendant qu’elle s’empare du mien. Quel spectacle ! Quel spectacle donnons-nous à nos spectateurs ? Un regard vers Paul me rassure. ...
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