Mariage (suite et fin) !
Datte: 10/08/2017,
Catégories:
ff,
fhh,
couplus,
Oral
69,
Partouze / Groupe
échange,
confession,
... La silhouette est penchée en avant, comme pour mieux suivre. En 69, nous nous suçons. Fleur écrase son minou sur ma bouche. Elle me lutine divinement. Je retrouve toutes les sensations du mariage. Douceur, sensualité et délicatesse. J’adore lorsque son jus coule sur moi. Il me faut plus de temps pour m’abandonner. Je sens les regards des spectateurs.« Et Paul ? Ne va-t-il pas bondir comme un fou et m’arracher à ce plaisir ? » Mais non, rien ne se passe. Je peux me laisser aller. Laisser le plaisir venir, me submerger et donner à ma maîtresse la récompense de la femme comblée. Un orgasme, un orgasme, moment si précieux et rare, déclencheur de cette coulée de jus, à la fois élixir et calmant. Lentement, la marée redescend. La pièce est maintenant silencieuse. Nos gémissements se sont tus, ne reste que la musique. Les hommes sont toujours assis et semblent être retournés à une position plus confortable, bien calés au fond du canapé. Fleur se relève, m’entraînant avec elle : — Viens. Et, s’approchant de nos hommes : — Regarde-moi ces deux voyeurs ! Elle tend la main à son ami qui s’extirpe du canapé. — On va faire un petit jeu ; le jeu du foulard. Vous connaissez, Paul ? Mon mari se racle la gorge avant de répondre, signe qu’il est troublé. Est-il troublé du genre « ma femme est vraiment une salope » et il va chasser nos amis ? Ou bien du genre « charmant spectacle qui m’a émoustillé » et il décide d’attendre la suite ? — Pas vraiment. Ce n’est pas l’enthousiasme, mais au moins ...
... rien de définitif. — Alors, vous allez voir, lui répond Fleur qui sort de son sac deux foulards, m’en donne un et cache les yeux de Marc qui s’y prête de bonne grâce. Spontanément, mon mari se lève et me laisse lui bander les yeux. Il n’est pas nécessaire de sortir de Polytechnique pour envisager la suite. — C’est simple : à vous de découvrir laquelle est avec vous. Sans les mains ; ce serait trop facile. Vous direz le prénom à chaque fois que vous pensez l’avoir reconnue. On ne peut pas dire que ce soit très original, mais j’imagine que Fleur utilise ce jeu comme un test. Elle me fait signe de m’occuper de Paul comme elle se charge de Marc. Bien sûr, chacun reconnaît sa chacune aux premiers baisers. Mais nous faisons l’échange très vite et chacune déshabille et caresse l’homme de l’autre. Étrangement, ils sont silencieux, maintenant nus alors que des mains parcourent leur corps. Fleur, toujours d’un geste, me rend mon homme et me fait signe de la suivre. Nous formons un cortège de deux aveugles guidés par leur chien fidèle. Heureusement, la chambre est au même étage. Le grand lit reçoit nos compagnons, assis côte à côte. Mon baiser se transforme en caresses que Paul reconnaît. J’adore sucer ses seins, ce que je lui fais souvent. Maintenant je sais que ce sont ceux d’une femme que je recherchais inconsciemment. Son nombril aussi m’attire ; son ventre, son pubis ne sont que le prétexte pour attiser son imagination. Son excitation est au top. Déjà, lorsque j’ai fait descendre ...