43.2 – Halle aux Grains. Stéphane et moi.
Datte: 23/12/2018,
Catégories:
Entre-nous,
Les hommes,
... hélas des maladies ou des accident de parcours qu’on ignorerait… lui, comme moi, on a pu un jour être exposé à une saloperie qu’on ignorerait… alors, dans le doute… Je le regarde tenter de déchirer l’emballage du préservatif avec ses doigts, sans succès… je croise son regard, il me sourit… il se moque de lui-même… il est touchant… il retente avec ses dents… l’emballage cède enfin… je le regarde faire et je trouve ça sacrement excitant… il extrait le bout de caoutchouc, il le regarde de près pour en déceler le sens… il est mignon tout plein… il le place sur son gland, il tente de le dérouler… il n’y arrive pas, ce n’est pas le bon sens… il le retourne et il peut enfin commencer à le développer sur la longueur de sa queue… c’est la première fois que je vois un mec passer une capote et je trouve ça foutrement troublant à voir… il a un peu de mal, j’ai soudainement envie de l’aider… je n’ai même jamais touché une capote, je sais que je vais m’y prendre comme un pied, mais j’ai trop envie d’essayer de la faire glisser sur son manche, de toucher sa queue vibrante de désir, cette queue qui va bientôt être en moi… Je relève mon torse et mes doigts effleurent sa queue, se mélangeant aux siens… dévinant mes intentions, il sourit et il me laisse faire… effectivement, je ne m’y prends pas mieux que lui, je m’y prends pile comme un pied… j’ai du mal, je suis gauche au possible mais il est patient, les bras au long de son corps, le bassin légèrement vers l’avant, la queue bien tendue, le ...
... regard amusé et adorable, un regard que je croiserai par deux fois braqué sur moi… il sourit, il ne s’impatiente toujours pas, alors que ça commence à durer… je le trouve super mignon et je ne peux me retenir de l’embrasser encore… il m’embrasse à son tour, et son baiser est fougueux… je sens sa queue frissonner entre mes doigts qui cherchent toujours à achever la course de ce bout de caoutchouc qui fait de la résistance… Pendant qu’il m’embrasse, pendant que mon geste devient mécanique car ma conscience s’évapore sous l’effet troublant de ce contact de langues, voilà que, comme par miracle, mes doigts trouvent enfin le moyen… les plis du préso se dénouent et j’arrive à le dérouler jusqu’à la base de sa queue, le bord élastique terminant à moins d’un centimètre du début de ses bourses… Je lève mon regard, l’air victorieux, pas peu fier de moi… « C’est pas une mince affaire… » je lui balance sur un ton d’humour, satisfait de moi. Il sourit. Il est beau. Il est sexy. Il est surtout très très très sensuel. Il déborde de sensualité. Il est craquant avec sa queue bien raide et capoté, un beau petit mec bien chaud et que je devine être très en forme pour me prendre… j’ai autant envie de le serrer à moi que de l’avoir en moi. J’ai trop envie de lui. Je reste un petit instant à le regarder sans arriver à me décider laquelle des deux options je vais saisir en premier… C’est lui qui choisira pour moi… sa bouche se pose sur la mienne pour y déposer un dernier baiser… lorsque nos lèvres ...