1. Grains de sable et grains de sel pour Ingrid C., nue !


    Datte: 23/12/2018, Catégories: revede, Voyeur / Exhib / Nudisme photofilm, BDSM / Fétichisme nopéné, portrait,

    Il est des emplois où l’effeuillage est difficile, délicat, indécent. Il est des scénarios où le strip-tease frôle le voyeurisme et l’appel à l’audimat. Or, dans le paysage audiovisuel français, rarissimes sont les séries où Molière aurait pu dire : Couvrez ce sein que je ne saurais voir : Par de pareils objets les âmes sont blessées, Et cela fait venir de coupables pensées en tendant un mouchoir blanc - enfin, je veux dire un carré blanc (pardon, décidément, je date). Pourtant, en cette année 2005, quelle surprise ! Dans l’univers glauque d’une île bretonne où se déroule l’action d’un polar qui mêle intrigue policière et fantastique, apparaît en clair-obscur la belle et pulpeuse Ingrid C., nue… …Et dans la nuit noire, au milieu des éclairs et de la tempête, le dolmen s’est dressé et coule ! Ah ! L’olympienne femme qui s’étale impudiquement sur les écrans noirs de nos nuits blanches… quel effet peut-elle bien produire sur la gent masculine, souvent en vacances, plus disposée à assouvir alors ses fantasmes… Lumière bleutée et tamisée, suggérant la nuit… Draps blancs, oreiller moelleux… La jeune femme dort profondément, une main sur l’épaule, la tête sagement tournée vers la caméra, elle est perdue dans ses rêves scénarisés. Bruit extérieur, soudain et inquiétant ! Soubresaut dans la nuit, sursaut dans le lit. Brusquement, la jeune femme s’éveille. Redressée et assise sur sa couche. Bouche légèrement ouverte, dents blanches éclatantes luisantes dans la nuit cinématographique, ...
    ... yeux écarquillés et apeurés, regard noir et perçant, le drap glisse naturellement et laisse voir les seins… Divine apparition qui met le feu à la tête et aux poudres et vous fait oublier une situation oppressante. Seins lourds, volumineux et fermes, aux mamelons légèrement bruns, aux bouts pointus. Le sillon marqué entre les deux globes incite à s’y perdre, à s’y épuiser, à s’y noyer. Et la frayeur passée, pudiquement, le drap remonte sur la gorge… Trop tard ! Le spectateur a gravé la scène en images de feu dans le tréfonds de sa mémoire d’homme aux fantasmes inassouvis. Les aficionados d’Ingrid C., à la recherche de ses apparitions découvertes, exceptionnelles sur les écrans, doivent se pencher sur les pages glacées des magazines branchés, avant de s’épancher avec langueur sur la froide reproduction de son corps dénudé. Autres décors… encore un lit. Un grand lit, tout de blanc recouvert. Draps froissés à souhait. En travers, le corps d’Ingrid C. nue. Entièrement nue. La tête, rejetée en arrière, décoiffe les courtes boucles blondes aux mèches cendrées. Les yeux fermés, aux paupières ombrées d’un brun mordoré, laissent imaginer un regard de braise. La bouche légèrement ouverte découvre une dentition ajustée et brillante. Le menton pointu souligne un visage dynamique et volontaire, supporté par un cou gracile. Bras subrepticement croisés devant la gorge, les mains posées à plat sur des épaules tavelées de petites taches de rousseur. Doigts longs, fins et manucurés soulignant ...
«1234»