Grains de sable et grains de sel pour Ingrid C., nue !
Datte: 23/12/2018,
Catégories:
revede,
Voyeur / Exhib / Nudisme
photofilm,
BDSM / Fétichisme
nopéné,
portrait,
... une main délicate qui doit savoir dispenser de si douces caresses. À les contempler ainsi, enveloppantes, gracieusement placées sur les épaules, on ose en imaginer ce contact discret, timide, chaud et réconfortant. Sous le bras croisé sur la poitrine on devine sagement la naissance d’un sein, légèrement laiteux sur un corps bronzé d’or. Ventre plat, marqué d’un nombril étroit et serré. Hanche parfaite qui s’évase à l’arrière pour former une fesse ronde, pleine où l’on discerne le léger duvet marquant cette exquise vallée qui les sépare en deux hémisphères plantureux. Jambe galbée à la cuisse ferme et musclée mise en avant pour dissimuler le giron. Dans le fond, on distingue, un peu blanchâtre, la plante d’un pied dénudé, sagement posé sur son homologue. Douceur d’un talon marqué par une cheville fine… Cette femme, généreuse de ses formes, présente une harmonie épanouie dans son corps et laisse à l’imaginaire des couleurs qui lui tannent la peau, un satiné et un velouté de pêche, fruit de l’été mûri au soleil qu’elle pourrait incarner à merveille et que l’on a envie de toucher, de caresser, dans laquelle on planterait volontiers les dents pour en sentir le jus couler autour de ses lèvres, jusque sur le menton. Fille de la mer, femme de la côte, Ingrid C. aime aussi jouer avec l’eau, la vague, le sable, les rochers. Autre décor… photo de plage. Ce n’est pas une de ces photos souvenirs du temps de l’adolescence. Non, c’est celle d’une sauvageonne rassérénée, aux cheveux en ...
... bataille, décoiffée par le bain de mer dans lequel elle vient de se régénérer, en trempant son corps, en frottant son épiderme aux milles gouttes d’eau vitales et dynamisantes. Mèche rebelle qui fouette le visage sous l’effet du léger zéphyr qui balaie la côte et la chevelure. La bouche pulpeuse porte la marque presque boudeuse de celle qu’on surprend et dérange dans son intimité sciemment offerte. Le regard noir, soudain devenu dur, est perdu sur un horizon lointain de rêves et de projets. Les grains de sable blanc maculent jambes et cuisses. Naïade prise à la sortie de son bain, un paréo aux étranges allures militaires souligne le haut de la cuisse fuselée et le plein de la fesse, plus deviné que montré. Main en avant protégeant la fine cheville au pied enfoncé dans le sable perlé qui a poli sa plante. Talon blanc, délicatement fripé d’une exposition prolongée à l’eau qu’à merveille l’on se prendrait à réchauffer au creux de sa main, si la naïade en faisait la demande. Mais la naïade sait aussi se faire sirène. La voilà alors sagement exposée sur un rocher gris, pull-over rouge éclatant porté à même la peau et longue jupe bleu marine. Un sourire mutin aux lèvres, elle vous fixe dans les yeux, légèrement par-dessous, telle la femme qui connaît et maîtrise son pouvoir de séduction et d’attraction et se veut volontairement soumise à votre bon vouloir de voyeur. Chevelure brune où se reflète un soleil rasant. Le buste ramassé sur lui-même. La belle se donne et se protège. Les deux ...