1. MERCREDI APRÈS-MIDI PARTIE 3


    Datte: 23/12/2018, Catégories: Lesbienne Partouze / Groupe

    Nous faisons confiance au Hasard, au Destin, comment appeler ça ? Chaque mercredi, nous avons une merveilleuse surprise.Celle-ci se matérialise un peu plus haut dans l’avenue. On entend des gémissements, qui sont sans nul doute des gémissements de plaisir. On part sur un court sentier qui conduit à un parc riche en végétation et arbres, que nous n’avions pas encore remarqué.Nous nous figeons devant le spectacle qui s’offre à nous, qui porte à incandescence une excitation qui n’a fait jusqu’à présent que monter sans encore s’apaiser.Ils sont installés sur et autour d’un banc. Trois garçons et une fille, dans nos âges. Sans doute une bande qui se retrouve ici tous les mercredis après-midi, dans des liens flous et ambigus, qui peuvent glisser à un moment ou à l’autre. Ça a été le cas aujourd’hui. La meilleure preuve c’est que la fille est aux trois quarts nue, assise sur un sexe qui rentre et sort de son vagin.On se fige la bouche sèche pour regarder, capter tous les détails. Absorbés dans leurs jeux, pris dans leur monde, ils ne nous ont pas encore repérés.La fille est magnifique, dans un style punk, pour ce qui reste de vêtements sur elle. Un corps élancé, une taille fine, avec des seins lourds aux aréoles larges et roses que se partagent, installés de chaque côté d’elle, les deux garçons qui n’ont pas le privilège d’être en elle, chacun sur un sein. Elle a une jupe à carreaux courte, ramenée à sa taille, des bas résille qui tiennent à ses cuisses, et des bottes qui montent ...
    ... jusqu’à ses genoux. Son pull, roulé à sa taille dégage sa poitrine. Le soutien-gorge, assorti à la culotte, est posé sur le banc.Et il y a cette queue, roide, gorgée de sang, qui coulisse entre les lèvres gonflées qui s’étalent autour de la chair qui la fore, queue qui disparaît puis réapparaît, enveloppée de latex, semblant plus épaisse à chaque fois. On ne voit pas le garçon qui la fouille, juste ses mains, accrochés aux hanches, soulevant la jeune femme, son sexe et ses jambes.L’occasion est trop belle. C’est peut-être cela que nous aurons appris au fil du temps, savoir profiter du moment, parce qu’il ne reviendra pas. Je pousse le portillon, et nous avançons vers le groupe, un instant surpris, mais qui comprend vite l’opportunité que nous représentons.Les deux garçons ont libéré leur queue, chacune à un état différent de l’érection. Nous nous en emparons, les masturbant doucement pendant qu’ils continuent de travailler les seins de la fille. On finit par se caler sur le banc, et nous les prenons dans notre bouche. Ils ne s’attendaient certainement pas à ça. Le sang pulse dans leur sexe, remplissant les zones caverneuses, les faisant épais et durs. Je sens le corps de chaud de la fille contre le mien. Alliance d’un instant, certes, mais d’une rare force. On se souviendra, Caroline et moi, de cet après-midi, comme de tous ceux avant, et sans doute aussi de ceux qui viendront. Ce sont ces moments qui donneront du sens à notre existence, et qui valent, sans aucun doute, de ...
«123»