1. MERCREDI APRÈS-MIDI PARTIE 3


    Datte: 23/12/2018, Catégories: Lesbienne Partouze / Groupe

    ... vivre celle-ci, pas des chimères.Quand nous les lâchons, leurs queues sont dilatées. À point pour que nous les enfoncions en nous. Pourtant, Caroline et moi, si proches au point de penser à la même chose au même moment, nous avons la même envie. Nous nous penchons, chacune d’un côté, sur l’entrecuisse de la blonde et nos langues viennent tourner sur les deux sexes, sur le clitoris et les lèvres de la blonde, et sur la chair qui apparaît et disparaît. La fille gémit de plus belle. Je descends sur les couilles du gars. Il crie— Putain, je vais jouir, je peux plus tenir…La blonde l’extirpe d’elle, et arrache précipitamment la capote. Elle le prend dans sa main, et le masturbe. Un simple aller et retour et il crache des jets de semence sur son ventre. Il est tellement excité qu’il ne débande même pas.La blonde a son sac à main posé à ses pieds. Elle att**** une boite de capotes dont elle tire trois emballages que nous déchirons pour les gainer.Sans l’avoir vraiment calculé, nous nous positionnons en serre-livres autour de la blonde, qui a simplement changé de partenaire. Le garçon blond que j’ai pris dans ma bouche s’est glissé sous elle et il vient poser son gland contre ses lèvres. C’est elle qui donne le coup de ventre pour absorber le membre, et ils se calent sur un rythme.Je me mets à quatre pattes sur la gauche de la blonde et Caroline en fait autant de l’autre côté. Nous nous dénudons, et cul offert nous attendons qu’ils glissent leurs queues en nous. Nous sommes deux ...
    ... ventres offerts qui n’aspirent qu’à être remplis.Je ne peux m’empêcher de gémir quand je sens le gland enveloppé de plastique se poser sur mes lèvres. Une partie de moi a envie qu’il glisse tout de suite au fond de moi, l’autre qu’il reste là à frotter ma chair. Il fait une sorte de compromis entre les deux, baladant la tête de sa queue sur mes lèvres, avant de pénétrer lentement en moi…Ce frottement contre mes muqueuses…Tout ce qu’on fait avec Caroline est indéniablement bon, et sa langue sur moi est indéniablement plus habile que ne le sera jamais aucune langue de garçon, mais ça…Je ne m’imagine pas vivre sans une queue qui fouille mon intimité, qui va et vient, lentement ou plus vite, qui s’enfonce si profondément en moi que j’ai l’impression qu’elle me remonte jusqu’à la gorge. Qui me remplit totalement à tel point qu’il me semble qu’elle occupe mon corps tout entier, mais aussi mon esprit parce qu’à cet instant, je suis coupée de tout sauf de ce membre qui est présent en moi.Nous trouvons notre rythme naturellement, dans une communion quasi magique, qui sera brisée quand nous aurons pris notre plaisir. Les garçons tournent sur nous, une queue remplaçant une autre queue. Ce qui fait, mine de rien, toute la différence, chaque garçon ayant son rythme.Le temps, l’espace, tout s’est disparu. C’est ce qui fait la richesse de nos mercredis après-midi, c’est lorsqu’enfin on débouche sur ce ou ces moments, qui laissent des traces, auxquels nous rêvons toute la semaine, qui nous ...