Provocations retenues - Histoires de Sexe

Provocations retenues

... je les ai vus, parfois.— Oui, j’ai des enfants, et de jeunes petits-enfants.— Très mignons.— Oui.— Alors, si vous vous mettiez en ménage…— Eh bien ?— Ils ne s’y opposeraient pas ?— Pas le moins du monde.— Mais si vous tombiez sur une femme avide de prendre vos sous ?— Je lui en laisserais un peu, si elle me plaisait.— Mais si elle était vraiment très exigeante ?— Il faudrait qu’elle me plaise vraiment beaucoup. Qu’elle soit à ma disposition complète. En dépit de mon âge, je suis resté très viril, et j’espère bien le rester encore longtemps.— Vous voyez bien ! Vous pouvez tomber sous le charme d’une dévergondée qui ne s’intéressera qu’à votre argent. La Caisse Nationale de Prévoyance, que je représente, vous propose des contrats vous permettant de préserver votre capital en souscrivant une police d’assurance-décès au bénéfice de vos enfants et petits-enfants. J’ai pensé que même si je prenais son assurance à la con, elle ne coucherait pas avec moi. Alors je lui ai dit que je n’avais pas besoin d’assurance-décès, étant immortel. Pourquoi immortel ? Parce que j’écris des bêtises publiées par Rêvebébé, qui vaut bien l’Académie Française, à mon humble avis. — Pas si sûr, m’a-t-elle répliqué. Et elle a enfourché son scooter, à défaut de mon corps un peu vieux peut-être mais encore opérationnel. La preuve, je me suis branlé en pensant à la jolie postière. Inutile de te donner d’autres détails, tu connais ça, hypocrite lecteur, mon semblable, mon frère. Retour au sommaire Les ...

... cuisses, les cuisses nues, le cul moulé par un trop petit short de toile, le cul qu’elles balancent en marchant… Et leur rire quand elles se retournent, avec les courgettes qu’elles ont choisies en pouffant parce qu’elles lorgnaient mon bas-ventre. — Tu crois qu’il l’a aussi grosse ? Voilà ce qu’elles se demandaient à mi-voix pour que je l’entende. Et au moment de payer elles se sont penchées pour fouiller dans leur porte-monnaie, et pour que je voie leurs seins, leurs seins bronzés par le soleil, leurs seins polis par tant de caresses… — Eh bien, Bébert, tu rêves ? dit la patronne. Elles te plairaient bien, ces filles, hein ? Sacré Bébert, va ! Elle rit, la patronne, et lui tape sur l’épaule et même parfois sur la fesse. Elle a chaud, elle s’évente avec un bouquet de persil et elle déboutonne son corsage. — Tu te rinces l’œil, Bébert ! Bébert, tu me regardes, gros cochon ! Bien obligé, elle lui met sous le nez son soutien-gorge rose avec cette vilaine dentelle tout en haut, et les gros globes dessous avec les tétons qui pointent sous le tissu trop usé. Lui qui préférerait tellement les petits seins si mignons des deux filles de tout à l’heure… … Je me trompe peut-être, mais faut voir comme il me regarde, Albert ! Et faut voir aussi sa grosse patronne qui se fait tripoter par son mec, devant lui, lui si timide, lui qui n’ose rien. Il bande pourtant, ça se voit sous son jean quand il me voit choisir les courgettes en les caressant comme si c’étaient des bites. Il bande en voyant mes ...