Provocations retenues
Datte: 10/08/2017,
Catégories:
grossexe,
neuneu,
vacances,
campagne,
magasin,
cérébral,
Voyeur / Exhib / Nudisme
nopéné,
nonéro,
... dans ce domaine, ce jeune homme était doué, très doué ! Elle imagina des barbares incultes en train de lui briser les doigts pour l’empêcher d’exercer son art, au nom d’Allah ou de la décence chrétienne. Impossible : elle ne pouvait laisser faire cela ! — Prends tes affaire et suis-moi, soupira-t-elle, espérant, fébrile et un peu effrayée, que le lycéen n’en parlerait jamais à ses potes. Elle l’emmena avec elle dans les sanitaires des filles, qu’elle verrouilla d’une main tremblante.« Qu’est-ce que je suis en train de faire ? Je deviens folle ou quoi ? » Puis, sans se laisser le temps de réfléchir, elle fit passer son pull à col roulé au-dessus de sa tête, ferma les yeux et dégrafa son soutien-gorge, laissant sa magnifique poitrine exploser à la face du monde… et en l’occurrence, à celle d’un jeune homme blond concupiscent. Honteuse et frémissante, Céline sentit un souffle glacial caresser ses tétons, qui se mirent aussitôt à bander. Elle n’osait pas ouvrir l’œil, de peur d’affronter le regard du garçon. Dans le même temps, elle coulait sans retenue. Que faisait-il ? Allait-il lui toucher les seins ? ...
... Mortifiée, elle se rendit compte qu’elle en mourait d’envie. Elle imaginait des mains avides se tendre vers ses globes pour les pétrir, se glisser sous sa jupe, écarter sa petite culotte et caresser sa fente trempée. Céline s’adossa contre le mur des toilettes, rejetant la tête en arrière et porta les mains à ses nichons, autant pour les couvrir que pour les malaxer elle-même. Pendant ce temps, elle entendait des drôles de crissements, comme une petite souris en train de courir sur du papier. Elle se détendit soudain : il était en train de la « croquer » en pleine action, afin d’emporter avec lui l’image de son abandon incompréhensible. Peut-être même se branlerait-il plus tard, en la regardant se toucher les lolos… Peu de temps après, la porte des sanitaires claqua sur des bruits de pas qui s’éloignaient. Céline rouvrit les yeux. Il était parti sans un mot, sans un geste déplacé pour profiter de sa faiblesse passagère. À ses pieds, les deux caricatures dévoilées tout à l’heure. Elle montrerait peut-être celle de Boko Haram à Christian. Quant à l’autre, elle comptait bien la garder pour elle seule… Retour au sommaire