1. Une star pas comme les autres...


    Datte: 23/12/2018, Catégories: fh, ffh, uniforme, hotel, amour, fdomine, intermast, policier,

    ... tombe dessus. Et là, ce ne sera pas bon pour lui, crois-moi.— Tu vas lui faire quoi ?— T’inquiète.— Dis-moi ? Allez, steup…— Laisse tomber, je préfère que tu ne saches rien. N’oublie pas que ce gars veut ta peau !— Allez, tu me raconteras après, alors. D’accord, mon chéri ?— Hum, bon, on verra…— Alors… Bonne chasse ! On s’embrasse. Je retourne dans ma chambre, et appelle François au téléphone. — Oui, François. Verrais-tu un inconvénient que je tente de débusquer le Harold d’ici 18 h ? Marlène reste dans sa suite, et il y a ton molosse devant la porte.— Tu veux nous refaire le coup de Kandahar ? Putain, comment est-il au courant de ça ! Effectivement, un jour, on avait eu une info crédible qu’un attentat au gilet explosif allait avoir lieu. J’étais sorti du camp habillé en autochtone, et j’avais débusqué le kamikaze. Pas franchement un bon souvenir, le gars, le gamin plutôt, s’était retranché dans une maison, et avait déclenché le détonateur. Un vrai carnage. « Dispersé façon puzzle », comme disait Michel Audiard… — Dis donc, tu as de bonnes sources, toi…— Un accès direct aux archives de Fort Lamalgue, que veux-tu. Ok. Par contre, en souplesse, y’a du civil dehors.— Ok, bien reçu. Bon allez, ma valise. Je me change, tenue passe-partout accordée au climat, casquette, lunettes de soleil, dague commando lame teintée dans son étui de mollet, le Glock dans son holster de ceinture, T-shirt large pour le masquer, une bombe de gaz CS dans la poche. Je fais passer le câble de ...
    ... l’écouteur radio sous le T-shirt et positionne correctement l’oreillette pour qu’elle soit le moins visible possible. J’appelle Paul au téléphone. — Paul, vous avez encore besoin de Falco ?— Non, plus pour le moment, pourquoi ?— Tu peux me le faire amener, je pars en reconnaissance armée, il peut m’assister, vu qu’il a senti l’odeur de l’autre con.— Ok, y’a Michael qui doit retourner au Negresco, je lui demande de te l’apporter.— Ok, merci. Avec un chien, je serai plus anonyme et moins inquiétant que seul, et de plus, la cible ne devrait pas s’y attendre. Une reconnaissance armée, c’est aller provoquer l’adversaire. Furtif au début, explosif ensuite. Ça perturbe, normalement. Je vais dans le salon et en profite pour manger ce qu’il reste sur le plateau. Les filles ont fait une razzia. Il reste du thé, presque froid, des pains au raisin et des fruits. Aller hop, tant pis pour mon régime. En plus, je n’en fais pas ! Alarme SMS. Ok. Bien. Je me rends dans le local sécurité de l’hôtel. — Ok Jérôme, montre-moi ça.— Écran en haut, comme d’hab, Capitaine. On va devenir potes, à force. Il me plait bien, ce Jérôme. Sympa, efficace, sobre. Ok. On distingue Joël qui s’approche du pépère déguisé, par le côté. Harold tourne la tête, voit Joël, et sans aucun préavis, lui donne un grand coup de pied dans les couilles. Joël se plie en deux. Harold lui file un grand coup de genou de bas en haut. Joël est catapulté en arrière, sonné. L’autre se barre à toute vitesse et sort du champ de la caméra. ...
«12...131415...22»