Une star pas comme les autres...
Datte: 23/12/2018,
Catégories:
fh,
ffh,
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amour,
fdomine,
intermast,
policier,
... Putain, il est véloce, le bougre. Faut que je m’en souvienne. NE JAMAIS SOUS-ESTIMER L’ADVERSAIRE… Les cours de tactique et de stratégie me reviennent vitesse grand V. Ok. — Voilà, Capitaine, c’est tout ce qu’on a.— Déjà beaucoup. Merci, Jérôme. Je lui serre la main, et sors de la pièce. En attendant Falco, je fais une ronde dans l’hôtel, des fois que le Harold ait réussi à entrer. J’examine attentivement tous les gens en léger surpoids, ou gros surpoids. Hier, quand je l’ai vu, il était en T-shirt, je pense que son volume est réel. Ça, il aura du mal à le cacher. Pour le reste… Un gros type au bar attire mon attention. Je m’approche discrètement, hors de portée de ses jambes, on ne sait jamais… La corpulence pourrait correspondre. La taille, difficile à dire, il est juché sur un tabouret. Un peu dégarni, grisonnant… Pas franchement le même visage, mais bon… La serveuse lui donne son demi. Ils discutent quelques secondes, le gars lui sourit, la fille lui renvoie son sourire. Bien. Je fais signe à la demoiselle. — Bonjour Monsieur, que désirez-vous ?— Juste un renseignement, je fais partie de la sécurité de Marlène Mongeot. Le type que vous venez de servir, vous le connaissez ?— Je ne sais pas si je dois…— Vous pouvez. Si vous voulez, appelez votre responsable sécurité, on se connaît.— Ah, oui, je vous reconnais, je vous ai vu aux infos…— C’est bien moi. Alors ?— Ah, Monsieur Trémeulen ? Un ancien client de l’hôtel, il est dans l’immobilier je crois.— Il vient souvent ?— Oh, ...
... tous les ans, plusieurs fois, depuis des années.— Parfait, vous êtes charmante, je vous remercie. Ok, coup d’épée dans l’eau. Je continue ma ronde. J’aperçois un gars avec un berger allemand à l’entrée du hall. Je vais vers eux. — Falco je suppose ?— Oui, c’est donc à vous que je dois le remettre ?— Exactement. Viens, mon chien. Je me penche pour le caresser. Il a une bonne bouille, le clébard. Il lève la tête vers moi en remuant la queue. — Alors, Paul m’a dit de vous donner le mot d’attaque. Si vous le criez en montrant du doigt quelqu’un, il lui saute dessus.— Ok, et le mot est ?— Hum… alors, ça commence par « Bom », au milieu il y a « bar », et pour finir, c’est « dier ».— Ok, j’ai pigé. Vaut mieux ne pas le prononcer pour rien, je suppose ?— Oui. Il est conditionné.— Ok. Merci. Allez, viens, Falco. Je prends la laisse, et nous voilà sortis de l’hôtel, pour une petite reconnaissance armée. Falco reste bien aux pieds, côté gauche. Une femme me bouscule. Une quarantaine d’années, le visage assez marqué, mince, de longs cheveux bruns, une chemisette en jean et un jean moulant. Plutôt pas mal. — Excusez-moi !— Il n’y a pas de mal.— Ça tombe bien, je voulais vous voir.— Ah bon ? Et vous êtes qui, si ce n’est pas trop indiscret ?— Florence Bois, lieutenant de police. Vous avez dit à mon collègue que la personne qui a été agressée était votre collaborateur. Vous avez cinq minutes à me consacrer ? En me disant cela, elle sort de sa poche arrière un porte-carte, et me montre sa ...