1. 50 P’tit branleur sexy (torse nu, casquette à l'envers)


    Datte: 10/08/2017, Catégories: Entre-nous, Les hommes,

    ... j’en viens même à me demander si tu ne m’aurais pas laissé gagner... pour gagner une pipe au passage, l'air de rien... et à me dire que, même si tu avais gagné, tu aurais trouvé le moyen et l’argument pour l’avoir ta pipe… Tu respires fort, tu profites des talents de ma langue et de mes lèvres... tu fermes les yeux… tu lèves la tête vers le ciel, tu ouvres la bouche à la recherche d’air... Ma main te branle et ma langue fait des « 8 » bien appuyés sur tes bourses… t’as l’air d’apprécier… Petit à petit, je descends vers ton entrecuisse… tu me laisses faire… du moins jusqu’à ce que ma langue effleure l’entrée de ta raie… Tes mains se posent alors sur mes épaules… elles me retiennent fermement… Alors, quoi ? T’as peur de quoi ? De ne pas aimer ? Ou, au contraire, de trop aimer ? Là aussi, comme un flashback de première révision… d’un autre petit con insupportablement macho, à qui j’ai voulu faire découvrir ce bonheur… lui aussi a voulu m’empêcher d’y aller… j’ai forcé les choses… et il a très vite aimé ça… Comment vas-tu réagir, petit Justin ? Le fait est que tu DOIS goûter à ça, mec, c’est obligé, et tu dois y goûter aujourd’hui même, et ça doit être par le biais de ma langue... je force avec mon buste et j'arrive enfin à effleurer ta raie avec le bout humide... et là… presque instantanément, comme lorsqu’on tape le bon code sur un clavier… un accès s’ouvre… Tes bras cessent instantanément toute résistance… je te sens te détendre… je te sens attendre, impatient… Alors j’y ...
    ... vais… avec mes deux mains, j’écarte tes fesses et j’y vais de plus en plus fort, de plus en plus profondément, ivre d’avoir le droit d’accéder à l’endroit ultime de ton intimité… Non seulement ta résistance cesse, mais très vite tu écartes bien les jambes, tu ouvres grand tes cuisses, tu laisses glisser tes fesses bien au bord du canapé, même un peu dans le vide, tout en prenant appui sur tes pieds bien ancrés au sol… ton corps tout entier œuvre pour me laisser la voie libre, je dirais même pour me faciliter l’accès… tu es désormais complètement renversé dans le canapé, complétement offert à ma langue, sans limites et sans pudeur, … Non seulement tu ne t’oppose plus aux caresses de ma langue, mais tu es en demande… Je ne me trompe pas si j’affirme que jamais avant cet après-midi, personne ne t'a fait ça ? Et que tu ne t’attendais pas, ce matin, en te levant, à découvrir en ce 17 septembre 2015, ce truc de dingue grâce à une langue inconnue, et surtout pas avec la langue d’un mec… Toi qui as voulu d’abord me retenir parce que, j’imagine, dans ta tête « il n’y a que les pd qui aiment ça »… Pourtant, dès que tu y as goûté, tu as aimé… Tes deux mains voulaient me repousser… elles veulent désormais me rapprocher… elles se portent sur ma tête, tes bras exercent une pression de plus en plus forte, violente, animale pour que mon visage et ma langue s'enfoncent encore plus en toi... tu y vas tellement fort que j'ai du mal à respirer… pourtant, ton geste me chauffe à bloc… Alors je n'ai ...
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