1. 50 P’tit branleur sexy (torse nu, casquette à l'envers)


    Datte: 10/08/2017, Catégories: Entre-nous, Les hommes,

    ... autre chaînette, plus courte, plus épaisse, mais tout aussi sexy… Et puis j’entends à nouveau ton râle de mec en train de se vider les couilles… je vois dans le miroir ton corps secoué par l’explosion de ton seul plaisir… je vois tes yeux se fermer, tes traits se figer, l'orgasme déborder sur ta jolie petite gueule… oui, quand je te vois jouir, l’excitation m’arrache provisoirement à la nostalgie… Putain… y’a-t-il un truc plus beau que de voir un mec comme toi submergé par le plaisir et jouir ? Puis, tu t'abandonnes sur moi de tout ton poids, la respiration bruyante, le rythme cardiaque très rapide, la queue toujours raide… tu restes immobile pendant quelques minutes, tu récupères… Lorsque tu te relèves, je me retourne instinctivement… j’ai besoin d’être rassuré… besoin de savoir que la capote est toujours sur ta queue et qu’elle a résisté à ta fougue de jeune étalon… je ne te connais pas mec… je me méfie un peu, j’avoue… J’ai quand même la forte impression que si je t’avais laissé faire, parti comme tu étais parti, fougueux, excité, impétueux, débordant de testostérone bouillante, toi t’y aurais été à cru… petit con, va… t’es vraiment un spécimen typique de la « génération Y », aussi appelée « génération nokapot », cette génération qui semble ignorer le B.A.BA des bonne pratiques en matière de sexe… une génération qui n’a pas vécu la médiatisation de MST dans les années ’90… une génération qui n’était ...
    ... pas encore là quand Freddy Mercury n’était déjà plus là… une génération qui, encouragée par l’alibi du PrEP, la fausse conviction que la trithérapie est une promenade de plaisir, grandit dans une désinformation qui leur fait imaginer que le Sida n’est guère plus grave qu’un rhume… s’autorisant par conséquent une inconscience dans les pratiques sexuelles qui traduit à la fois un défaut flagrant de respect de soi et une attitude criminelle envers l’autre… Pour peu que, comme de nombreux ti cons de ton espèce, et de ton âge, tu te berces dans la fausse illusion que tremper la queue dans un cul inconnu, ça ne représente pas de risque pour toi, en tant qu’actif… tu m’aurais baisé sans capote, j’en suis sûr… Il m’a fallu faire face à ta fougue, à ton impatience, cette nouvelle impatience de jouir amenée par la découverte de nouveaux plaisirs et la promesse d’autres à venir… et, en même temps, lutter violemment contre mon envie viscérale de recevoir en moi l’empreinte génétique d’un petit con comme toi… Oui, il m’a fallu bien d’énergie, mais j’ai quand même réussi à imposer ce bout de caoutchouc… ce préso grâce à qui, en te regardant ôter cette capote au réservoir bien rempli et la coiffer d’un petit nœud, je repense déjà au bonheur de tes assauts le cœur léger… Il m’est déjà arrivé d’oublier ma brosse à dents… mais je ne pars jamais en voyage sans amener avec moi des capotes et du gel… nécessaire de survie… 
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