50 P’tit branleur sexy (torse nu, casquette à l'envers)
Datte: 10/08/2017,
Catégories:
Entre-nous,
Les hommes,
... direct ta virilité, ta jeunesse, ta sexytude, ton arrogance… C’est frustrant, c’est râlant, c’est rageant… mais le fait est que… je ne te connais pas, mec… qui sait où un petit con de ton espèce a pu laisser trainer sa queue dans une ville aux mille tentations comme New York… Alors, bien que l’ivresse des sens (je n’ai toujours pas joui) m’inspire des idées débridées, une petite voix de trentenaire me dit qu’il vaut mieux assumer une petite frustration plutôt que risquer une grosse infection… Je me contenterai alors de survoler ton paysage anatomique à très basse altitude avec mon nez, pour m’enivrer de cette odeur de nectar de jeune mec, tout en empêchant ma langue de s’en délecter… c’est une odeur un peu forte et douce à la fois, à l’image de ton regard, de ta voix, de tes attitudes de jeune mâle... ce goût, c’est tout toi... c’est vraiment du nectar de petit con… Tu pars fumer à une fenêtre... appuyé au rebord, ta cigarette au bec, le regard perdu dans l’immensité du paysage urbain, tu me fais penser à un autre gars, cigarette au bec, appuyé au parapet de sa terrasse… une terrasse si lointaine dans l'espace et dans le temps... lui aussi, lorsqu'il avait joui, il avait besoin de ce petit plaisir faisant écho à celui qu’il venait de prendre avec moi... Lorsque tu écrases ton mégot, lorsque tu te retournes, je vois dans ton regard que tu n'en a pas eu assez… je vois à ta queue que tu en as pas eu assez... Tu avances vers moi… j'ai hâte de savoir ce dont tu as envie ...
... maintenant… Tu passes à côté de moi, sans un mot… tu te diriges vers le couloir... « C’mon, follow me… » je t’entends lancer. Mais oui, je vais venir avec toi… je te suivrais en enfer, si j’avais la certitude de pouvoir accéder à ta queue… Je te suis… tu te diriges vers ma chambre... tu rentres, je rentre derrière toi... je n’ai pas le temps de fermer la porte… tes mains m'attrapent, je me retrouve allongé sur le lit… je te regarde et je sens que tu as envie de me défoncer… j’ai tout juste l’occasion d’enlever mon short et mon boxer… même pas le temps d’ôter mon t-shirt… tu me retournes et je me trouve allongé sur le ventre, face à la porte glacée du placard… je te vois dans le miroir en train de grimper sur le lit… je vois ta queue tendue avancer vers mon entrejambe… je sais que t’as envie de me baiser… envie de décharger en moi ce rut que j’ai provoqué en toi… Te sentir coulisser en moi provoque en moi mille frissons… te regarder dans la glace en train de prendre ton pied en moi, voir ta chaînette onduler au gré de ta baise, voilà qui provoque en moi dix mille frissons… savoir que tu ne vas pas me lâcher tant que tu ne te seras pas déchargé… je crois que je deviens dingue… Tes mains désormais solidement enserrées sur mes épaules pour donner plus de puissance à tes coups de reins, je te vois te pencher un peu plus sur moi… je sens le contact léger de ta longue et fine chaînette entre mes omoplates… et, soudainement, souvenir d’un autre miroir, d’une autre situation… souvenir d’une ...