1. 50 P’tit branleur sexy (torse nu, casquette à l'envers)


    Datte: 10/08/2017, Catégories: Entre-nous, Les hommes,

    ... Oui, la porte s’ouvre, et je suis reçu par toi, petit con... toi aussi, tu es presque comme sur la photo… mais en dix fois mieux… je t'avais trouvé mignon sur l’annonce... mais là, en vrai, t'es carrément canon... on ne peut pas dire qu’il y a tromperie sur la marchandise... bien au contraire… En sortant de l’ascenseur, juste avant de sonner à ta porte, j’écoutais une chanson qui fait : Haven't we met/Ne s'est-on pas déjà rencontrés You're some kind of beautiful stranger/Tu es une sorte de bel inconnu You could be good for me/Tu peux être bon pour moi I have the taste for danger/J'ai le goût du danger Et je trouve que cette chanson te va à merveille… 22-23 ans max... torse nu, une silhouette élancée mais toute en muscles, des épaules joliment bâties... une longue chaînette de mec qui glisse entre tes pectoraux sculptés et se balade jusqu’à ton sternum… des abdos dessinés à l’équerre… un short gris style molletonné laissant non seulement dépasser un pli de l'aine saillant, mais également deviner une belle bosse sur le devant... une peau de bébé sur un corps d'athlète... une jolie petite gueule d’ange sexy en diable, un visage aux traits parfaits avec cette touche de perfection, une petite barbe d'une semaine taillée avec soin... Tu es beau par nature et insolemment sexy par choix délibéré... ça ne s'expliquerait pas autrement cette putain de casquette deux tailles trop petite vissée à l'envers et très haut sur la tête, couvrant juste le sommet de ton crâne et dégageant en ...
    ... grande partie tes cheveux châtain clair coupés très courts sur la nuque et autour des oreilles... Ta peau dégage un parfum de mec à l’essence poivrée, entêtante... et, détail qui finit de m’assommer, dans ton regard se niche une sorte d’étincelle coquine permanente… Tu pues le sexe à 100 mètres à la ronde, mec... ton regard, ton physique insolent, ton attitude de bogoss branleur sont une pure provocation, une décharge électrique pour les sens... ça prend aux tripes... le désir que tu inspires est violent, brûlant, déchirant... Face à ton attitude de p’tit branleur effrontément sexy, un peu trop sûr de toi, de ton physique, de ton charme, de ton entrejambe… face à cette belle arrogance qu’est l’apanage d’une jeunesse insouciante et insolente à qui la vie n’a pas encore eu l’occasion d’apprendre l’humilité, on ressent vite l’envie de te gifler pour tenter de calmer ton arrogance, comme pour t’apprendre les bases du savoir-vivre… Car, crois-moi, petit mec… des baffes, tu en mériterais des tonnes… mais tu n’en auras pas… le fait est, qu’en te regardant, on est vite happés par une autre envie, encore plus violente… l’envie de te faire jouir… une envie inspirée par ta beauté masculine renversante… et par ce charme, ton charme, justement sublimé par ton insupportable arrogance de petit con… te faire jouir, c’est juste une nécessité… Oui, le petit con est capable de nous mettre devant bien de contradictions… « Hi » je te salue, beau newyorkais. « Hi… » je t’entends répondre tout en ...
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