1. Première expérience à trois (suite)


    Datte: 10/08/2017, Catégories: fhh, hbi, extraoffre, inconnu, amour, Voyeur / Exhib / Nudisme Masturbation intermast, Oral pénétratio, hdanus, init, couplea3,

    ... allait. Elle a souri. Elle sourit souvent et ça lui va bien. « Tu veux que je te réveille ? » m’a-t-elle demandé. Je ne savais que répondre. J’avais bien sûr encore envie d’elle mais je ne pensais pas que ce soit réciproque. J’étais, jusque là, persuadé qu’ils n’avaient qu’une envie : que je m’en aille pour faire un gros dodo. Je me trompais. Portant la tasse à ses lèvres, elle a pris une grande gorgée de café puis s’est penchée sur mon entrejambe. Elle a pris mon sexe en bouche. Il n’est traditionnellement pas très vigoureux à cette heure de la journée, mais le contact du liquide brûlant et de sa langue avec ma verge m’a électrisé. Je me suis couché sur le dos en soupirant. L’impression de chaud et froid était étrange et très agréable. Après s’être gargarisée, elle a avalé le café, mais a poursuivi sa fellation. Mon sexe a vite repris de la vigueur, je le sentais se déployer, s’étirer, s’éveiller dans la bouche de ma partenaire. Il y avait une douceur nouvelle dans ces caresses. Elle ne me masturbait pas avec la bouche, mais faisait doucement virevolter sa langue autour de mon gland, agaçant le frein avec ses lèvres, puis avec ses dents, me lapant de haut en bas, osant même quelques excursions sur mes testicules, puis remontant aussitôt, comme si elle se doutait qu’encore engourdi, j’avais davantage besoin de tendresse que de sexe pur et dur. Samuel avait les jambes croisées, il nous regardait, il avait conservé sa robe de chambre, je ne sais s’il bandait, mais j’ai ...
    ... supposé que oui. « Tu as envie de faire l’amour ? », m’a demandé Sabine. Sa voix était douce, un peu rauque, sans doute à cause des cris qu’elle avait poussés tout à l’heure. J’ai murmuré que oui, j’aimerais bien. Elle m’a couché sur le dos, a plongé la main dans un tiroir et en a ressorti une pochette de préservatifs. En me regardant droit dans les yeux, elle a déchiré l’emballage et a approché un manchon de latex de mon sexe dressé. Avec application, elle l’a posé sur le gland puis l’a minutieusement déroulé, prenant le temps de chasser l’air qui était resté dans le réservoir. J’ai voulu me redresser mais, appuyant du plat de la main sur mon torse, elle m’a signifié de rester tranquille et de la laisser faire. Je n’ai pas protesté. Avec un naturel qui m’a étonné, elle a ôté sa robe de chambre. Puis elle m’a enjambé et, tenant la base de mon sexe, elle m’a enfourché. J’ai cru que j’allais perdre connaissance tellement c’était doux et chaud. « Ca va ? », a-t-elle demandé à son homme, en tournant légèrement la tête. Celui-ci a montré son sexe, de dimensions plus qu’honorables et entièrement décalotté. C’était une réponse comme une autre. Les deux mains appuyées sur mon ventre, elle a commencé à se faire aller et venir. Plutôt que monter et descendre, elle glissait de l’avant vers l’arrière. C’était lent et puissant à la fois. J’ai soudain eu l’impression que mon sexe était aspiré à l’intérieur de son ventre : elle me massait en contractant les muscles de son vagin. Comme si cela ne ...