Première expérience à trois (suite)
Datte: 10/08/2017,
Catégories:
fhh,
hbi,
extraoffre,
inconnu,
amour,
Voyeur / Exhib / Nudisme
Masturbation
intermast,
Oral
pénétratio,
hdanus,
init,
couplea3,
... fesses de Sabine qui étaient écartées, par ses cris à peine étouffés par l’oreiller. Pendant plusieurs minutes, il l’a ainsi possédée. Je voyais ses fesses à lui qui s’agitaient, ses couilles qui cognaient contre le pubis de Sabine, ses mains qui se crispaient. Un moment, j’ai été tenté de glisser les doigts entre les deux sexes, comme pour sceller notre complicité, mais je me suis abstenu. Aux halètements de Samuel, à ses mouvements de plus en plus rapides, j’ai compris qu’il allait jouir. Et effectivement, il s’est soudain tendu, puis immobilisé sur la croupe de sa partenaire. Il a été agité de quelques soubresauts, j’imaginais son sexe palpiter et se vider dans l’intimité de Sabine. Je sais que dans les films pornos, l’homme prend un malin plaisir de se retirer pour éjaculer sur le dos, voire le visage de son amante mais là, ce n’était pas un film porno, simplement un homme et une femme qui font l’amour. Temporairement, j’avais cessé d’exister. Samuel s’est lentement retiré, son sexe avait perdu de sa raideur. Il s’est couché à côté de Sabine, elle lui a caressé le front, je me suis fait discret. Tandis que son homme récupérait, Sabine s’est tournée vers moi. « Tu as toujours envie, on dirait… » Aurais-je démenti que j’aurais été trahi par mon sexe. Congestionné, d’un rouge qui tirait vers le violet, il tendait toujours le cellophane. « J’ai encore envie, moi aussi », m’a-t-elle rassuré. « Tu veux venir dans mon petit trou ? » J’ai trouvé ça mignon. Elle aurait pu choisir ...
... d’autres mots, plus ou moins vulgaires, mais elle a parlé de son « petit trou » et s’est inquiétée de savoir si ça me plairait. Sa retenue n’a fait qu’ajouter à mon trouble. Elle s’est alors retournée, prenant une position qui ressemblait fort à celle qu’elle avait adoptée un peu plus tôt. À la différence près qu’elle n’avait plus la tête enfoncée dans l’oreiller, mais qu’elle l’avait tournée sur le côté et me regardait en souriant, comme pour m’encourager. Je me suis penché vers ses fesses et je lui ai léché « le petit trou », y répandant suffisamment de salive pour ne pas la blesser. Puis j’ai présenté mon sexe à l’entrée de cet orifice et j’ai poussé. Ce n’était pas facile parce que ça glissait et j’ai dû m’y reprendre à plusieurs reprises avant d’enfin m’enfoncer de quelques centimètres. « Ca va ? », lui ai-je demandé. Elle m’a prié de continuer. J’ai poussé un peu plus fort, les muscles de son anus se sont relâchés et elle m’a englouti. Durant quelques secondes, je n’ai plus bougé, je craignais de lui faire mal. C’est elle qui, bien vite, a fait remuer son postérieur. C’était extraordinairement bon. C’était serré, j’avais la queue prise dans un étau, j’ai continué à la faire coulisser. J’ai vu qu’une de ses mains se glissait entre ses jambes. Tandis que je me faisais aller, elle se masturbait. Elle gémissait de plus en plus fort et de mon côté, je n’en menais pas large non plus, je savais que je ne pourrais tenir longtemps. Brutalement, elle s’est cabrée en poussant un ...