1. La Saga des esclaves au Château du Marquis d'Evans (épisode N° 623)


    Datte: 27/12/2018, Catégories: BDSM / Fétichisme

    ... bureau et travaillait déjà, penché sur un vieux livre, lequel je pus apercevoir le titre ‘’ Œuvres originales des Poésies de Jean Nicolas Arthur Rimbaud, dit Arthur Rimbaud – Edition limitée année1880’’. Je reparti vers un endroit où j’avais vu une impressionnante collection d’herbiers et d’encyclopédies. Je les pris doucement et les emmenai vers une table proche de mes affaires afin de les étudier. Ces livres étaient absolument magnifiques, fins et ouvragés, unique pour les herbiers et très rares pour les encyclopédies. Toute excitée, je ne me mis pas tout de suite au travaille, préférant d’abord admirer ces ouvrages, leurs reliures en relief et dorées et ornées de filets d’or. Puis je commençai à prendre des notes sur mon carnet… Au bout d’une heure, je me rappelai que j’avais emporté mes appareils photos, l’un était un beau polaroïd, l’autre un numérique. J’allai les chercher, puis me retourna vers Monsieur le Marquis pour lui demander l’autorisation de prendre quelques photos. - J’accepte seulement que vous ne photographiez que les livres et exclusivement les livres, mademoiselle, dit-il en me regardant de son regard si particulier et fixant droit dans mes yeux. J’hochai la tête en le regardant aussi dans les yeux, un léger sourire sur les lèvres. Je pris d’abord en photo, avec mon numérique les herbiers, que je trouvais fascinant, puis quelques clichés de certaines encyclopédies. Puis, avec mon polaroïd je pris seulement trois photos sur les plus belles pages des ...
    ... herbiers. J’allai ensuite reposer les livres où je les avais pris. Je me baladai un peu ensuite, bloc note à la main, regardant les tranches des livres, ouvrant ce qui attirai le plus mon regard. Je continuai à prendre des notes ici et là sur certains livres. Au bout d’un moment, je fini par tomber sur un livre différent des autres qui était mis en évidence car il n’était pas enfoncé à fond dans son emplacement et donc comme il dépassait de l’alignement des autres livres, il attira mon attention, ce qui fit naître en moi la même impression que le tableau plus tôt. En effet, c’était un livre illustré, assez ancien, et son contenu était pour le moins particulier, pensai-je à ce moment. Il parlait de Domination et de soumission, choses qui pour moi est quasiment inconnue. Je le pris en main et lisais et tournai les pages sans vraiment prêter attention à la pièce. Debout, le rose au joue, me sentant intriguée, gênée et excitée à la fois, je n’entendis pas le Marquis arriver derrière moi. - Je crois que ce livre ne plaira pas à vos professeurs, mademoiselle, dit-il, amusé de me voir aussi gêné, mais intrigué par mon excitation qu’il devait certainement deviner. Je sursautai à sa phrase, le livre me tomba des mains et je me baissai précipitamment afin de le ramasser, me cognant au passage la tête contre l’angle de l’étagère. A moitié sonnée, je ramassai le livre et je fis face au Marquis, honteuse. Il fronçait les sourcils, me regardant les bras croisés. Instinctivement, je baissai la ...