1. La Saga des esclaves au Château du Marquis d'Evans (épisode N° 623)


    Datte: 27/12/2018, Catégories: BDSM / Fétichisme

    ... tête, avant de la relever afin de lui faire correctement des excuses. - Je suis vraiment désolée Monsieur le Marquis, je ne comptais pas le lâcher, vous m’avez surprise et il m’a glissé… tentai-je de m’excuser. - Je vous avais dit de faire attention mademoiselle. Ce livre est très ancien et donc fragile, c’est une œuvre rare laquelle je tiens beaucoup, encore hier soir je le relisais … Sachez Mademoiselle, ce que vous avez fait mérite punition, me coupa-t-il sur un ton sévère et froid. Interloquée, je le regardai, muette suite à sa phrase tombée comme un couperet dans mon esprit. Je ne savais si c’était le coup sur ma tête qui me faisait délirer. Voyant mon manque de réaction, ou s’en amusant, il prit mon poignet, de son autre main il rangea le livre dans son emplacement, puis il m’emmena derrière lui vers son fauteuil où il s’assit. En tirant sur mon bras, il me fit mettre à travers ses genoux. - Je vous préviens, si vous bougez ce sera pire qu’une fessé, est-ce clair ? Dit-il avant que je ne me débatte. J’hochai la tête, incapable du moindre son. Il releva ma robe et il vit ma légère culotte blanche toute en dentelle qui ornait un cul rond et pulpeux et cachait mon sexe qui était déjà humide suite à la lecture du livre. Le Marquis regarda mon cul ...
    ... pendant un moment, et les lèvres à travers le fin tissu, puis la descendit sans ménagement. Je respirai fort, monstrueusement gênée qu’un homme que je venais de rencontrer vois mon intimité. Toutefois, je n’arrivais pas à comprendre cette sensation dans le bas de mon ventre, comme si j’attendais que cette punition commence, comme si je la souhaitais... Tout à coup, sans que j’y sois préparée la première fessée tomba. Je poussai un petit cri et me mordis la lèvre inférieure. Une décharge agréable s’était abattue sur moi lorsque je sentis sa paume la première fois. Elle revient lors de la deuxième fessée. Je ne poussai pas de cri, mais ma respiration s’accéléra, je regardai le sol devant moi sans le voir, obnubilée par les sensations et les pensées contradictoires. Je me sentais humide, de plus en plus et cela accroissait mon trouble. C’était mal et j’avais peur d’aimer ça, mais je dois l’avouer, j’aimais ça ! Les autres fessés vinrent, augmentant la tempête dans ma tête. Trois, quatre… Je ne les comptais plus, trop perdue par la sensation de douleur, intrigante mais ô combien excitante, qui faisait monter un plaisir inconnu alors en moi. Je ressentais un trouble immense m’envahir et à la huitième claques, je vacillai dans l’inconscient… (A suivre …) 
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