1. La Saga des esclaves au Château du Marquis d'Evans (épisode N°1079)


    Datte: 29/12/2018, Catégories: BDSM / Fétichisme

    ... salope, tu le diras bien à notre ami le gynéco ! - Bien sûr, Monsieur le Marquis ! Enfin, Walter jouit à nouveau, le Châtelain posa la cravache sur le canapé, et sortit lentement sa main de ma chatte béante dans un délicieux mouvement rotatif de retrait de ma grotte lubrique, ce qui me procura de nouveau de succulents spasmes … Sitôt la chatte libérée, un flot de cyprine s’en écoula… Je gardais cependant la position, mais dans une sorte de brouillard absolu, inerte et tremblante sur mes jambes… Soudain, je sentis une grosse verge dressée se présenter sur ma rosette, le Maître certainement me dis-je puisque Walter était devant moi. Les puissantes mains du Marquis d’Evans se posèrent sur mes crêtes iliaques, s’accrochant à mon bassin, tandis qu’il poussait derrière moi pour pénétrer son cul et que je sentais lentement sa divine queue entrer en mon anus de chienne assoiffée… Ah ! Cette sensation d’être écartelée en cet endroit, sentir ce bâton dur s’enfoncer dans les entrailles, de plus en plus, glisser en mes profondeurs, me laissant la chatte béante et ruisselante, jusqu’au moment où je sentis contre mes fesses les poils pubiens du Maître. Ah oui ! Quel bonheur ! Sensations sublimes sans conteste ! Il tenta de s’enfoncer encore plus, resta un moment immobile en un profond coït anal, planté en moi sans bouger, puis commença une sorte de ballet infernal, se retirant, s’enfonçant, se retirant entièrement laissant mon cul ouvert puis se ré enfonçant profondément, d’un coup, d’un ...
    ... seul jusqu’au fond me faisant beugler de plaisirs… Tandis qu’Il me pistonnait virilement avec force, Il me prit les cheveux et les tira à Lui, me redressant en arrière… Dans cette pose, le Majordome prit la cravache et tandis que Maître allait et venait en mon cul torride, Walter cravachait mes seins avec méthode, comme voulant dessiner dessus des arabesques cruelles. C’est au milieu de cet ouragan d’excitations que je reçus les jets sacrés de la semence du Maître, en plusieurs fois, car après les premiers, Il ne sortit pas de mon cul, attendit un long moment, puis reprit son ballet. Ce qui fit dire à Walter : - Monsieur le Marquis, sauf votre respect, Vous êtes en train d’en faire une citerne à foutre… Pendant qu’il éjaculait à nouveau le Maître répondit : - Walter, tu ne penses pas si bien dire, Ma petite chienne deviendra un réservoir à foutre en effet… C’est son évidente destinée… Enfin, Il sortit de mon orifice anal… Il m’aida à me redresser, me tourna vers Lui, me prit dans Ses bras, bouche contre bouche… yeux dans les yeux… - Maintenant tu es Mienne, dit-il, maintenant, ton éducation va pouvoir commencer… - Merci Maître, Merci… répondis-je encore étourdie de mille plaisirs. - Tu vas suivre Walter mais avant… Allonge-toi sur le canapé, couchée sur le dos, jambes repliées sur tes seins ! - Oui, Maître ! Je prenais place sur le canapé, remontais mes jambes presque au niveau des épaules, et un bandeau vint sur mes yeux. Dans cette pose, vous imaginez mes orifices largement ...