La Saga des esclaves au Château du Marquis d'Evans (épisode N°1079)
Datte: 29/12/2018,
Catégories:
BDSM / Fétichisme
... exposés à tous les regards, rejetant le sperme reçu… J’entendis des clics… Je sus ensuite que c’était l’ouverture des coffrets demandés par Maître au Majordome. Je sentis ensuite se poser sur mon anus encore bien ouvert, quelque chose de froid qui tentait d’entrer en mon cul. Malgré la dilatation anale laissée par le sexe du Maître, le gode devait être plus gros car le Châtelain forçait et je me sentis m’ouvrir encore plus quand enfin le gland entra suivi ensuite du reste mais cette hampe factice semblait assez longue car étant bien écartelée voilà maintenant que je la sentais qui remontait assez profondément en mes entrailles… Une fois le gode anal bien installé, Maître en fit de même avec ma chatte qui se vit, elle aussi encombrée profondément. Ainsi mes deux orifices bien garnis, le Noble me fit me relever, je me trémoussais un peu comme pour tout mettre bien en place et c’est ainsi bien remplie que je suivis Walter sous les yeux réjouis du Maître. Tandis que je suivais le Majordome, je sentais en moi les godes se toucher et surtout, surtout, me remplir totalement, quelles sensations dès que je bougeais un peu ! A chaque pas, les godes me procuraient des plaisirs orgasmiques que je retenais et je me sentais mouiller encore et encore de ma cyprine abondante. On me vêtit d’une cape sombre ornée d’un liseré rouge l’entourant sur toute sa longueur, portant sur mon sein droit les Initiales de Monsieur le Marquis ainsi que Son blason ancestral de la Famille des Evans. A mon ...
... cou, le collier de chienne orné lui aussi des nobles Initiales et la laisse pendante entre mes seins. C’est dans cette tenue que je montai en voiture conduite par le Majordome. Quand je posai mes fesses sur la banquette de la Rolls-Royce, je sentis les deux godes s’enfoncer plus encore dans mes entrailles, au point même de ressentir une petite douleur vite compensée par une nouvelle et énième excitation. La sensation des deux godes en moi me faisaient écarter automatiquement les jambes. Je me rendis compte aussi de ceci : Les deux godes me remplissant tellement, faisaient ressortir mon clitoris poussé de l’intérieur de ma vulve. Le tout donnait l’image d’une véritable femelle en rut, obscène, lubrique… Le cabinet du gynécologue était à Rambouillet, non loin de la Demeure du Maître... Il était 17h30, la nuit tombait sur le parc dans lequel le médecin officiait… Walter gara la Rolls-Royce, m’ouvrit la portière me fit sortir, prit la laisse et me voilà, marchant à ses côtés, fière et un peu honteuse cependant car en extérieur et en visite aussi… Entrés, la secrétaire nous reçut et vit tout de suite mon accoutrement… Nue sous la cape, de très belles chaussures, la laisse tenue par Walter, le collier et les marques impossibles à cacher sur les seins… Mais elle n’avait pas du tout l’air étonnée et même qu’elle nous souriait dans une mimique faisant comprendre qu’elle était habituée à ce genre de visite… - Veuillez prendre place dans cette pièce, nous dit-elle… Nous la suivîmes et je ...