1. Une sœur, une mère (2)


    Datte: 30/12/2018, Catégories: Inceste / Tabou

    ... automatique et je coupe la lumière. Depuis le départ de mon père, j’ai l’impression d’être devenu le mâle dominant du lieu, conséquence d’être l’unique homme de la maison ! Et puis je ne comprends pas trop que ma mère puisse me faire cet effet… c’est aussi ce que je me disais au sujet de Julie… Pour ma sœur, c’est une fille de mon âge et pour cause, mais ma mère… Je m’allonge dans ma couche, bouleversé par ces pensées qui trottent dans ma tête. Quelle idée saugrenue de fantasmer sur sa mère ? Je m’endors sur cette interrogation. Au matin, c’est ma mère qui me réveille en me tirant l’épaule : — Il faut se lever, la journée va être longue ! Elle pousse sa couverture et se déplie d’un coup pour se mettre debout. Ces Jambes et ces cuisses nues de femme devant moi dans la clarté du matin ravivent mon trouble de la veille et réveillent mon sexe. Sans se douter de son effet, elle part vers la salle de bain, pour un rapide passage, puis me hèle à nouveau : — A ton tour ! Je fais chauffer le café ! Je vais dans la salle de bain comme un zombie, l’eau froide finit de me réveiller. Je m’habille en tenue de travail et je vais rejoindre ma mère qui a déjà commencé son déjeuner. En mangeant elle m’expose le programme de la journée : lavage du plafond et des huisseries, puis décollage du papier… La journée besogneuse se déroule comme prévu avec une petite interruption vers midi pour avaler la pizza apportée par un livreur de notre resto de la veille. Monter descendre l’escabeau plus ...
    ... l’odeur de la lessive, puis celle du papier mouillé… Lorsqu’arrive le soir je suis vanné, je crois que maman aussi. Elle a fait largement sa part du travail, imposant son rythme, dirigeant les opérations par des ordres brefs et concis. Lorsqu’au soir elle décide d’arrêter pour aujourd’hui, je pousse un grand soupir, elle m’attrape par la taille et me fait un grand câlin malgré nos habits pleins de poussière : — Tu as bien travaillé mon chéri, on mange un casse croute et on prend une bonne douche. Abruti par la fatigue, je mange comme un automate le sandwich préparé par maman puis ensuite je la suis dans la salle de bain… Je réalise alors la situation. Gêné, je me prépare à ressortir, lorsqu’elle m’attrape par le bras : — Puisque tu es là, si tu veux on prend notre douche ensemble ? Avec la fatigue, j’apprécierais beaucoup me faire savonner le dos… Et toi, n’aimerais-tu pas aussi ? L’énormité de la proposition me scotche sur place, je regarde maman la bouche ouverte. Elle me fait un grand sourire et commence à baisser la fermeture de sa combinaison de travail. Un peu dans la logique de l’arpette qui continue d’exécuter l’ordre du chef, je commence aussi à me déshabiller. Très vite, elle se trouve devant moi en soutien-gorge culotte. Devant la mollesse de mon effeuillage, elle vient accélérer les choses en me retirant ma combinaison de travail. Je suis en caleçon devant elle, un peu dérouté. — T’es cuit mon petit chéri ! L’eau va te faire du bien… Dégrafes-moi, et on y va ! Elle se ...
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