1. Une sœur, une mère (2)


    Datte: 30/12/2018, Catégories: Inceste / Tabou

    ... tourne en me montrant ostensiblement la fermeture de son soutien-gorge, puis elle baisse sa culotte. J’exécute l’ordre et imite son geste en faisant glisser mon dernier vêtement. C’est la première fois que je la voyais dans cette tenue et d’aussi près. Les fesses nues de ma mère réveillent mon sexe qui d’un coup pointe le ciel. Sans y faire attention elle m’entraine dans la cabine de douche. La pomme de douche à la main, elle ajuste la température de l’eau, puis asperge nos deux corps. Ensuite elle me tend le gel douche, puis tourne son dos : — Vas-y, savonnes-moi ! Comme un automate, je me fais couler du gel dans la main et commence à savonner le dos maternel… trop mollement à son goût : — Plus énergiquement… On ne va pas y passer la nuit… tu fais le dos, les fesses et les cuisses… Donc à grands gestes je savonne maintenant le dos maternel, puis les fesses, en osant à penne passer entre, puis les cuisses… à peine fini, elle se tourne en disant : — C’est ton tour, tournes-toi ! Et elle entreprend mon savonnage… Les gestes sont rapides et consciencieux ; elle n’hésite pas à passer entre les fesses et les cuisses… Puis en me prenant par l’épaule elle me retourne pour l’autre face comme elle dit ! Mon sexe bandé ne semble pas l’indisposer. Elle continue la séance de savonnage rapide et méthodique. Un passage rapide et apaisant sur cette partie sensible me détend et calme les douleurs de la trop grande tension… — Maintenant à ton tour tu me savonnes le devant ! Je ne réfléchis ...
    ... plus, dans le feu de l’action je savonne l’avant de ma mère en passant partout ; il n’y a plus d’endroits interdits. Mon sexe toujours tendu à exploser me fait encore plus mal… mais je me concentre sur ma tâche… J’ai à peine fini qu’elle initie la phase finale du rinçage. L’eau tiède me calme. Par de larges mouvements, elle inonde nos deux corps, insistant sur les zones encore pleines de mousse puis brusquement elle s’arrête sur son ventre : — pipi ! — … Subjugué, je vois alors une cataracte ambrée s’échapper du pubis maternel et grossir le jet de la douche. — … L’eau qui coule me déclenche chaque fois une envie… M’avoue-t-elle ! — … Les choses me dépassent, devant cette soudaine intimité, je ne sais plus rien dire… Elle rince abondamment ses épanchements, puis terminé, elle me tire hors de la douche pour un essuyage mutuel avec une grande serviette éponge. Cette proximité a créé un climat de compagnonnage, mère fils : nus ensemble cela me parait maintenant presque normal malgré un sexe toujours bandé à faire mal… J’ai à peine le temps d’admirer son corps, ses seins sont à peine plus lourds que ceux de sa fille, une peau blanche avec très peu de poils, un sexe avec des lèvres débordantes, charnues et colorées, des fesses bien rondes, des jambes bien faites… Les opérations terminées, elle m’attrape et me serre contre elle en faisant un gros bisou mouillé sur la bouche. Je sens mon torse écraser sa poitrine et le sexe buter contre son ventre : — T’es un amour de fils ! — …Oh ...
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