Une sœur, une mère (2)
Datte: 30/12/2018,
Catégories:
Inceste / Tabou
... maman… ma petite maman… je t’aime ! Dis-je tout bouleversé de cette proximité si impromptue. — Viens, on va dormir maintenant ! Elle m’entraine maintenant par la main jusqu’à la chambre, nous sommes toujours nus. Arrivé devant les deux matelas serrés côte à côte, elle réalise qu’elle a oublié les vêtements de nuit : — Ca ne fait rien…Tu ne vois pas d’inconvénient à ce que je dorme nue, à côté de toi… Et là, presque instinctivement, pour sortir de tout ce rêve ou simplement jouer avec les mots, je corrige : — … dors avec moi ! Je regrette aussitôt cette sortie, bien déplacée avec ma mère… Mais elle reprend : — On dort ensemble ?… mais pourquoi pas ! Viens ! A quatre pattes, elle écarte les couvertures, en me gratifiant de son arrière train de femme encore plus que désirable. Je la suis et lui prends la taille en me glissant près d’elle : — Je me doute de tes envies de jeune homme, mais il faut aussi qu’on dorme, il y a encore beaucoup de travail à faire demain avant d’aller rechercher Julie au train… Elle se serre contre moi, m’embrasse sur la bouche en m’écartant les lèvres… un vrai baiser d’amour : — Moi aussi je t’aime mon petit chéri et un petit plaisir avant de nous endormir nous fera du bien… Je sens que la situation m’échappe complètement, ce rapprochement avec ma mère est si inattendu ! Dans d’autres circonstances cela m’aurait révolté, donné la nausée, mais là c’est presque normal. Ce déménagement a bouleversé nos vies et mes principes, je m’abandonne dans les ...
... bras maternels, un peu comme petit enfant mais là avec une grosse différence au bas du ventre, une grosse faim. Dans une séance de tendres câlins je découvre tous les secrets et la douceur du corps de maman. Elle semble me calmer, me temporiser, me guider… — Tu sais, avec les femmes, les hommes veulent toujours aller trop vite. Nous, nous avons besoin de chaleur et de tendresse. Ce n’est plus la préhistoire où le mâle dominant devait se battre pour placer sa semence… Prends ton temps, câlines-moi, découvres-moi, apprends ce que je suis, c’est le meilleur moment d’une relation !… Ce corps chaud, féminin offert à mes côtés… mes mains, avides d’exploration progressent : les hanches, le ventre… puis je me enhardi avec la poitrine, le bout des seins déjà bien durs. Quel velouté de peau… Je l’embrasse, la caresse, elle semble apprécier mes câlins. Je touche ses cuisses puis son pubis avec sa petite toison. Sa main chaude arrête mon exploration lorsque j’atteins ses petites lèvres humides avec un petit râle elle presse ma main sur son sexe comme pour me signifier que ce point est sensible et qu’elle est toute à moi : — Mon petit chéri… doucement… c’est sensible ici… Puis ma pérégrination change de mode lorsqu’elle se retourne sur le côté. Par mimétisme j’accompagne son mouvement, nous retrouvons dans les bras l’un de l’autre. Elle me serre contre elle, sa bouche se plaque contre ma bouche, sa langue écarte mes lèvres et vient à la recherche de la mienne, s’ensuit un balais dans nos ...