String concerto
Datte: 11/08/2017,
Catégories:
fh,
inconnu,
Collègues / Travail
amour,
cérébral,
revede,
BDSM / Fétichisme
odeurs,
intermast,
jeu,
champagne,
aliments,
... proie du fantôme du grand père, venu me punir d’avoir emporté ses meubles et ses souvenirs… Cette idée suffit à me réveiller complètement. Heureusement pour moi, si fantôme il y a, il ne porte pas un parfum d’outre tombe. Plutôt celui de Caroline. Quelques pas légers rapprochent la créature mystérieuse de ma couche. Elle se glisse sous les draps, tout contre moi, nue… — Salut, beau broc… tu me fais une petite place ? murmure t elle.— Dans ton lit, dans notre nuit ou dans ma vie ?— Dans ton sommeil, pour commencer… Je sens son visage frôler mon cou, ma poitrine, mes bras. Elle prend tout son temps pour s’emparer de mon odeur et dépose des dizaines de petits baisers sur ma peau. — Tu sens l’homme endormi… C’est bon. Elle a l’initiative de nos jeux depuis le début, et c’est un délice de se laisser faire. Une sensation nouvelle aussi pour moi. Tout risque d’ailleurs d’être nouveau dorénavant, avec ce drôle de petit oiseau de nuit. Elle prend ma main entre les siennes, la masse comme pour en découvrir les contours, puis la pose sur sa poitrine, caressant la pointe de ses seins du bout de mes doigts. Ils sont comme je les avais imaginés, petits et particulièrement sensibles. Elle se coule langoureusement entre mes mains et me fait parcourir des sentiers tendresse sur son corps. Elle frissonne. — Tu as froid ?— Non, c’est la douceur de tes doigts… n’arrête surtout pas… Je glisse le long de ses flancs. Sa peau est délicieusement fine et chaude. Je me repose un instant dans le creux ...
... de ses reins et me baigne dans son parfum. Je sais que nous n’avons qu’un bref instant à partager, mais je n’éprouve aucune impatience. La sentir contre moi est déjà l’essentiel de mon plaisir. Pour la première fois, je n’attends rien d’autre d’une telle rencontre que la magie de la découverte. Rien d’autre que de rester aussi longtemps que possible entre les bras de cette mystérieuse passe muraille et de partager ce que le hasard de nos caresses nous offrira. Je découvre ses fesses, maintenant. Deux petites sphères bien fermes que j’arrive presque à empaumer en entier dans mes larges mains. Elle me laisse les écarter, se tortille contre mon ventre pour me faire un peu plus de place. Juste avant que je ne câline ses trésors, elle me retient d’un très long baiser sur les lèvres. — Promets moi de ne pas chercher à me voir, et je t’offre tout ce qu’il te plaira de découvrir de moi…— Juré ! Avec toi, je n’ai pas peur de rester dans la nuit. Mais rassure moi, fantôme ou fantasme ?— Sorcière lubrique, qui n’a pas cessé de te regarder travailler depuis la maison d’en face.— Et par quel sortilège arrives tu à traverser les murs ?— En suivant le passage secret construit il y a longtemps par mon grand père pour rejoindre sa maîtresse dans la maison voisine.— L’appartement sous les toits n’était donc pas que pour vous ?— Non, contrairement à ce qu’a toujours cru Mémé… Heureusement qu’ils savaient s’amuser à l’époque, non ? Elle s’allonge sur moi, les jambes encore fermées. Je sens la ...