1. Ma femme est une salope, mais pas que... (1)


    Datte: 30/12/2018, Catégories: Partouze / Groupe

    Chapitre I Depuis toujours, je suis d’un naturel timide, rougissant facilement pour un rien, d’autant plus face aux filles, à un point tel que mes parents se demandaient si je finirais un jour à trouver l’âme sœur. Bien que n’étant pas l’aîné de la fratrie, je fus désigné comme étant le successeur de l’entreprise familiale. Une petite société œuvrant principalement dans le bâtiment. Je n’en était que le gérant alors que mon père vieillissant mais toujours aussi autoritaire, en restait officieusement le patron. Mes ouvriers, parfois un peu rustre voire manquant de tact et de manières ne manquaient pas de me faire sentir qu’en tant que patron je n’avais de respect à attendre de leur part qu’au pire pour le titre. Cela ne les empêchait pas de murmurer dans mon dos, voire parfois en face de moi, des affronts à peine déguisés en avis sur ma façon de procéder ou d’agir.. Il en était de même pour les jeunes apprentis. Toujours est-il qu’un jour, je fus mis en contact avec un jeune couple de mon age, réclamant mes services pour divers travaux. Ils avaient un jeune fils d’une dizaine d’années voire moins Colette, c’était son prénom, était une très jolie brune, vive et intelligente. Tout ce dont j’aurais toujours rêvé. Mon père, qui l’avait enoeillée, ne se privait pas ne s’empêchait pas malgré son age de la courtiser et de la convoiter, qu’un jour, Colette vint me voir en me demandant s’il m’était passible d’éviter que mon père soit aussi présent. Elle me demanda si je pouvais ...
    ... faire aussi la leçon à mes ouvriers et aux apprentis, car elle avait horreur de se faire siffler ou de subir certains commentaire sur son si superbe physique. De part le temps libre que lui laissait son métier Colette passait me voir sur le chantier et ce de plus en plus souvent. Seule. Étant aux petit soins pour moi, m’offrant du café joliment présenté sur un plateau avec quelques petits gâteaux ce qui ne manquait pas d’agacer mon personnel. Bien que trop jolie et trop désirable pour moi, je ne pouvais m’empêcher de songer qu’elle aurait pu être ma femme et son fils, le mien. Et ce qui devait arriver arriva. Colette quitta son compagnon après s’être entichée de moi. Elle vint habiter chez moi avec son jeune fils et fit vendre leur maison. Un jour, alors que nous venions de commencer les inventaires dans les ateliers jouxtant notre habitation, Colette vint nous apporter du café. Mon inévitable père était là tout comme mes ouvriers et quelques apprentis, jeunes ados encore retords voire frondeur, mais l’ambiance était bonne bien que Colette, maintenant devenue ma femme n’aimait pas trop se retrouver seule avec eux. Elle m’avait d’ailleurs parlé plusieurs fois qu’étant absent et eux aux ateliers, ils prenaient l’habitude de venir papoter avec elle, toujours sur des sujets osés et grivois. Que plusieurs fois ils s’étaient risqué à la peloter alors qu’elle était encore assise dans sa voiture ou qu’elle en sortait. Qu’ils arrivaient souvent à lui déboutonner son chemisier pour lui ...
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