1. Ma femme est une salope, mais pas que... (1)


    Datte: 30/12/2018, Catégories: Partouze / Groupe

    ... glisser la main dans son soutien-gorge et lui caresser les seins, ou lui soulever son pull ou son t-shirt pour faire de même, qu’à chaque fois ils lui caressaient ou lui pinçaient les fesses, lui soulevait la jupe si elle en portait une, qu’ils réussissaient alors à lui baisser en partie sa petite culotte, leurs doigts s’immisçant dans la fente de ses fesses, qu’elle arrivait parfois à la porte de la maison à moité débraillée, un sein à l’air, la petite culotte sur les genoux, trop pressée de rentrer au plus vite se mettre à l’abri sans avoir pris le temps de se rhabiller. Qu’ils lui disaient qu’elle était trop bonne, qu’elle devrait se laisser faire, que j’en saurais rien et qu’ils finiraient tôt ou tard par se la faire. Colette exagérait sans doute même si je savais que mes ouvriers et les apprentis devaient très certainement la harceler et souvent profiter de mon absence pour tenter de la draguer. Mais je pensais qu’elle grossissait le trait sûrement pour me faire réagir et les mettre au pas. Chose dont je me sentais hélas bien incapable, pensant qu’ils finirait par se calmer. Je savais aussi que Colette me cachait ou croyait que je n’étais pas au courant car un jour, j’avais surpris Bruno, un jeune ouvrier, qui avait comme elle me l’avait dit, tenté de la peloter alors qu’elle était assise dans sa voiture, la vitre baissée. Ce qu’elle avait omit de me dire et qu’elle ne savait pas que j’étais déjà rentré et que je les observais bien planqué derrière une fenêtre sale ...
    ... d’une annexe des ateliers, trop sale pour qu’avec le reflet du soleil ils puissent me voir, mais suffisamment transparente pour que de mon point de vue je puisse voir parfaitement et distinctement tout ce qui se passait. d’autant que cette petite fenêtre n’était qu’à quelques mètres d’eux. Ainsi, au lieu et comme elle aurait du le faire si cela la mettait si mal à l’aise, il lui suffisait de remonter la vitre, voire de lui donner un coup de portière pour l’éloigner ou le dissuader. Mais de là ou j’étais, il m’était impossible de rater dans ses moindre détails tout ce qui se passait. Elle fit comme si elle regardait un dossier posé négligemment sur le siège passager, tandis que Bruno, en partie appuyé sur le rebord de la portière avait entré le bras dans l’habitacle et posé sa main rugueuse sur la poitrine et le chemisier de ma femme. Colette ne broncha pas comme elle se plaît à en dire le contraire, la tête légèrement penchée vers son dossier, elle laissait Bruno lui caresser lentement la poitrine, lui attrapant parfois à pleins doigts les rondeurs que formaient ses seins au travers de son chemisier immaculé. Toujours comme inspirée, elle le laissa faire. Puis il chercha à glisser la main dans son décolleté, mais celui-ci était trop fermé. Il commença alors à en libérer le premier bouton, y introduisit un doigt qu’il fit gigoter sûrement sur la naissance du sillon de ses seins, sans doute renforcer par le port de son soutien-gorge. Ce n’était pas suffisant. Il en libéra un ...
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